dimanche 28 juillet 2013

Une journée d'été

Samedi 27 juillet 2013

Villès, Les Jaunais

Marie-Laure, Viviane, Mélanie
Philippe, Gildas, Hervé, Thierry, Roger, Christian.

Une journée d'été

Nous sommes peu au rendez-vous habituel au club. Quelques uns déjà partis en vacances, quelques autres pas encore revenus.
 Il y a eu de l'orage ce matin, on peut imaginer que le beau temps va revenir pour l'après-midi.
C'est basse mer et pleine saison, en plus de la marée et la météo, il faut composer avec le stationnement.
Le choix est fait pour un départ de Villès et peut-être route vers le Grand Charpentier.
A l'arrivée sur le parking, le ciel se grise à nouveau, et c'est rapidement pluie et orage qui viennent de l'ouest.
Nous prenons tout notre temps pour nous préparer en attendant que l'orage passe
C'est passé, nous descendons les bateaux sur la plage. . Deux K2 cinq K1 au départ. Le ciel reste gris, et c'est face à un vent fort que nous mettons cap vers l'ouest. Nous restons en bord de côte pour être le moins exposés. La pluie n'est pas chaude, et la luminosité est faible, sans la température chaude de la mer, on pourrait s'imaginer un après midi d'hiver.
Nous progressons de pointe en pointe pour atteindre la plage des Jaunais. Le temps est plus clément, la visibilité est revenue, nous distinguons nettement la côte sud.
La renverse est faite, et nous piquons vers le large pour un retour au portant.
Retour facile, et mer de plus en plus plate. Il faut se méfier du courant de l'estuaire et bien anticiper l'arrivée.
Quelques vagues de plage ? Il faut seulement attendre, un cargo est passé au large !

Christian


dimanche 21 juillet 2013

Mer plate au Pouliguen

Samedi 20 juillet 2013
Le Pouliguen

PM 15h46 coeff 73
Vents Est 2 Beaufort

Viviane, Marie-Laure, Cathy, Martine, Carmène
Hervé, Yannick, Michel, Roger, Sylvain, Christian

Il y a une tendance Orageuse. Nous choisissons un parcours côtier. La mer est calme, les vents sont faibles et la mer est haute en après-midi. Avec un doute pour le stationnement des véhicules, nous tentons un départ près de la base de voile du Pouliguen.
Il y a une interdiction de baignade sur la plage, mais le centre de voile est en activité. Nous embarquons donc pour faire route vers la côte sauvage.
Le calme de la mer et le niveau de marée nous permettent de découvrir des passages entre les nombreux rochers et falaises et de pénétrer dans des grottes que nous avons rarement visitées en kayak.
Tout en surveillant le ciel, nous progressons ainsi jusqu'à la plage de La Govelle.
La qualité de l'eau est plus accueillante, et c'est en bout de plage que nous exécutons quelques jeux d'équilibre suivis d'entraînement d'esquimautage et d'exercices de réembarquement.
Ces jeux nous permettent de constater que rien n'est acquis, il faut travailler en permanence.

Le ciel se grise sur le continent rappelant qu'une tendance orageuse est annoncée. Nous prenons donc la route du retour, cap au plus court. Les nuages porteurs d'orage passent sur la côte. Et c'est sous un soleil toujours pesant que nous débarquons.
Christian


dimanche 14 juillet 2013

Dumet

Samedi 13 juillet 2013
Pleine mer 20h21 coeff 70
Vents annoncés 4b NE

Marie-Laure, Cathy, Martine,
Yannick, Philippe, Roger, Philippe, Sylvain, Hervé, Michel, Alain, Alain, Alexandre, Christian

Encore une belle journée d'été, il faut en profiter. Tout le monde n'est pas parti en vacances, nous sommes encore un petit groupe conséquent.
La saison touristique est commencée, il faut choisir le bon endroit d'embarquement pour éviter la foule, et tout le monde a l'envie d'un grand bord.
Nous choisissons donc une traversée pour l'île Dumet au départ de Piriac.
Et le stationnement sera sur l'aire à l'est du port de plaisance.

Il y a beaucoup de remorques à bateaux, mais nous trouvons facilement nos places de stationnement.
C'est marée basse, le portage est un peu long, la mer se mérite !
Quelques échanges de bateaux donc quelques réglages avant de partir. Quand tout le monde est sur l'eau nous mettons cap sur Dumet, la mer est calme, et les vents sont faibles.
Nous gagnons facilement Dumet. Nous croisons la route de vieux gréements qui descendent vers Piriac. La visibilité est exceptionelle, nous découvrons toute la côte depuis Piriac jusqu'à la presqu'île de Rhuys
A Dumet c'est la pose sur la plage Nord Est, et aussi l'instant des bains de mer dans une eau transparente.
Nous faisons ensuite le tour par le Nord ou nous croisons quelques bateaux au mouillage, puis cap sur Piriac. Toujours une grande visibilité, nous apercevons la pointe du Croisic.. Quelques clapots mais très peu de surfs, cependant c'est sur un rythme bien soutenu que nous regagnons la côte. Le groupe s'étire, mais chacun surveille tout le monde.

A l'arrivée, comme à l'accoutumée quelques exercices de déssalage, embarquements, et esquimautage.
Christian

dimanche 7 juillet 2013

Le Four

Samedi 6 juillet 2013
Le Four 
PM 16h34 coeff 66 3b NNE annoncé

20 kayakistes dans 19 bateaux
Marie-Laure, Anny, Mélanie, Viviane
Thierry, Marc, Pierre-Dominique, Hervé, Franck, Philippe, Sylvain,
Frantz et Frère, Jean-Claude, Roger, Alex, Christian, Bruno, Yannick, Eric


Comment décrire l'absence ? L'absence de houle, de nausée, de froid. Pas un nuage. Une douce brise, juste à point pour nous rafraîchir, et des vagues parfaites pour surfer. Aujourd'hui, j'ai frôlé le niveau zéro du stress.
Il y a des absences qui font mal, et des disparitions qui soulagent. Au début, ces dernières ne sont pas nécessairement agréables pour autant : une sensation de désordre prédomine, jusqu'à ce que les anciens souvenirs soient progressivement balayés...
Le soleil est là, tellement intense que, par contraste, le ciel voilé de mes dernières sorties me revient à l'esprit, particulièrement sombre... Mais c'est surtout le calme qui me déstabilise. Qu'est-ce que j'ai pu être bringuebalée dans tous les sens, durant cet hiver qui a duré six mois ! Alors je sens que quelque chose est différent de d'habitude, mais je mets du temps à comprendre quoi... Je ne suis pas la seule apparemment, car, sur le chemin du retour, Marie-Laure s'exclamera : "Quel temps splendide ! On se croirait en été !"

Les touristes n'ont-ils pas non plus eu le temps de réaliser ? Nous nous acheminons sans encombre vers Le Croisic, et nous garons devant Port-aux-Rocs avec aisance (au passage, les filles apprécieront le petit coin du même nom, derrière le muret d'enceinte). Nous embarquons à vingt, dans dix-neuf bateaux, Christian et moi en tandem.
Marie-Laure donne quelques conseils à Hugo, le frère de Frantz, qui débute en kayak, et le groupe part, plein d'entrain, à vive allure : le phare du Four, tout droit ! Grisés par la facilité du pagayage en duo, mon coéquipier et moi filons dans le peloton de tête. (Eh ! Eh ! Pour une fois, je ne suis pas à la traîne !)
Bientôt pourtant, le naturel du berger reprend le dessus, et Christian ralentit pour veiller sur les débutants et autres retardataires. (Je ne peux qu'être solidaire ! ) Alex et Hugo s'en sortent à merveille, Phiphi reste en soutien, tout le monde va bien...
Tout le monde ? Alors pourquoi ai-je l'impression d'entendre crier au loin ? C'est Viviane, que son dos malmené par les secousses fait souffrir au point de craquer : elle veut faire demi-tour. Je fais signe à Phiphi de patienter, mais nous ne nous comprenons pas. Le reste du groupe est trop loin, nous n'avons pas de VHF, impossible de communiquer. Tant pis ! Viviane ne peut pas rentrer toute seule, nous la raccompagnons. Christian est un peu inquiet : nous allons prendre du retard, parviendrons-nous à rejoindre le groupe ensuite ?
C'est là que je réalise en quoi cette journée est différente : je suis zen, absolument confiante ! Évidemment, nous allons réussir ! A deux, on va deux fois plus vite, non ? Et nous voilà lancés dans une série de surfs délectables ! (De temps en temps, nous nous arrêtons pour attendre Viviane : nous sommes censés l'escorter, pas jouer !)
Le temps de ramener Viviane à bon port, nous ne voyons plus personne quand nous repartons vers le large. Le kayakiste, minuscule point sur l'eau, est difficile à repérer ! En temps normal, c'est là que je me mettrais à pester et à me sentir abandonnée. (Si ! Si ! Roger est témoin !) Mais pas aujourd'hui ! C'est quasiment moi qui rassure Christian !
Nous pagayons efficacement, en discutant tout du long, si bien que la remontée vers le Four passe en un éclair. Nous rattrapons les autres... juste devant le phare ! Hourra !

La houle est plus marquée par ici. Est-ce lié au plateau du Four, qui n'affleure qu'à marée basse ? Une sorte de colline sous-marine, repérable à sa couleur jaune, crée même une vague statique un peu plus loin : nous irons la titiller avant de regagner la côte. Mais d'abord, nous avons hâte de faire le tour du phare ! "Attention à tourner dans le sens de l'hélice !" nous prévient Hervé. Je me demande quel genre de monstre des mers est prêt à surgir des profondeurs pour s'abattre sur les imprudents qui auraient le malheur de se tromper... Brrr ! Mieux vaut ne pas savoir !
Tout le monde semble avoir respecté la consigne, puisque nous sommes au grand complet lorsque Pierre-Dominique prend la très joyeuse photo de groupe. Eric remarque la jolie déclinaison de phares aux motifs noirs et blancs : après le damier de la Perdrix, l'hélice du Four...
Pour notre deuxième retour vers la côte, nous sommes rodés ! Nous enchaînons de belles séries de surfs, non sans faire le chien de berger entre Jean-Claude, à l'Ouest, et Alex, qui se laisse entraîner vers Saint-Nazaire ! Même si nous visons le château de Ports-aux-Rocs, repère bien visible entre deux bouquets d'arbres, il faut faire cap plus à gauche, vers la pointe avec les maisons blanches, car le courant nous déporte vers la droite.
Je ne me sens pas trop fatiguée quand nous arrivons près du rivage : alors nous repartons, avec Hervé, tenir compagnie à Hugo et Frantz. Ils sont restés en arrière du groupe, escortés par Sylvain qui en profite pour pêcher tranquillement... Et voilà comment nous avons fait non pas un, ni deux, mais trois allers-retours depuis Le Croisic le même jour !

En débarquant, je n'ai qu'une envie : me jeter à l'eau ! Ouah ! Quel bonheur de pouvoir nager dans une mer enfin chaude ! Débarrassée de mon attirail de kayakiste, je me sens légère, et j'avance sur les mains de rocher en rocher jusqu'à trouver suffisamment de profondeur pour pouvoir évoluer sans égratignure. Chemin faisant, j'admire les irréductibles qui s'exercent à esquimauter. Hervé enchaîne quatre roulades à la suite, dans son style syncopé bien à lui, tout en énergie et détermination ! Pierre-Dominique nous offre une farandole de figures variées, pleines de naturel et de fluidité...
Ce spectacle inspire Christian, qui ré-embarque dans le Xcape pour aller faire quelques cabrioles à son tour. Je regagne la plage en même temps que lui : "Tu veux essayer ? -Après tout, pourquoi pas ?"
Cela fait longtemps que je n'ai pas esquimauté : depuis la première séance en piscine de l'année, exactement. J'ai un moment de doutes : serai-je capable de retrouver le geste ? Je ne l'ai pas pratiqué souvent... Et puis, avec le temps, j'ai dû oublier ! La dernière fois, j'ai eu besoin de m'exercer avec des bidons avant de réussir avec la pagaie... Aurai-je suffisamment d'énergie, après cette longue après-midi en mer ? Ne serai-je pas ridicule à côté de mes voisins, cent fois plus expérimentés ? Alors je demande à Marie-Laure de m'accompagner, pour me rassurer.
Et là, à nouveau l'absence. L'absence de préjugés, de pression, de compétition. Je vais essayer, et voir ce que ça donne : c'est tout.
Je visualise le mouvement mentalement : faire corps avec le kayak, plonger, attendre qu'il soit complètement retourné, se projeter en arrière, garder la pagaie bien plaquée contre la poitrine, remonter sur le bateau par les épaules, relever la tête au dernier moment. Je me concentre, je ferme les yeux, et je me lance. Je déroule le film intérieur, les sensations en prime : la respiration bloquée, la rigidité du bateau contre mes bras, la douceur de l'eau qui m'enveloppe, les bruits étouffés, la rotation du kayak, la lumière qui revient à travers les paupières, l'impulsion pour me cabrer, l'effet ressort, la résistance de l'eau sous la pagaie, le contact de la plage arrière sous mon dos, le retour à la position verticale, au monde aérien... Miracle ! J'ai réussi !
Je suis tellement contente ! Je recommence aussitôt !
Un jour, je saurai esquimauter pour me rétablir, quand une vague m'aura renversée, comme j'ai déjà vu Sylvain et d'autres faire : je n'y suis pas encore, mais je progresse...

Il est 19 heures 30 quand nous remontons dans les voitures : personne ne semble pressé de rentrer. Nous avons partagé des gâteaux, prêté et emprunté du matériel, échangé des commentaires, des conseils, des encouragements. Nous aurons tous des courbatures demain, plus ou moins... Je me sens bien, détendue, comme après les séances de natation dans la piscine découverte de mon enfance. J'ai encore de l'eau dans le nez, et du soleil plein la tête...
Alors que nous roulons le long de la côte sauvage, je savoure la beauté du paysage et la douceur de cette magnifique soirée... de véritable été !


Mélanie


jeudi 4 juillet 2013

Kayak en Vro Vigouden

Samedi 29 et Dimanche 30 juin 2023
Kayak en pays Bigouden

Anny, Martine, Claire, Geneviève,

Pierre-Dominique, Sylvain, Eric, Christian,
Roger, Michel, Hervé, Joël, Benoit-Xavier,

Le départ se fait en ordre dispersé, l'idée est de partir le vendredi soir pour pouvoir profiter pleinement du week-end sur l'eau sans être obliger de se lever à pas d'heure !
Le rendez-vous kayak est donné au camping chemin de toul pesked à Loctudy à 9h30.
Nous arrivons pratiquement tous au même moment.

Samedi 29
Coef 73 PM 9h59 BM 16h24
Nous installons tentes et matériel, et sommes rapidement prêts pour un premier bord vers l'ouest. L'embarquement se fait sur la plage bordant le camping. Les voitures ne vont plus bouger.
Le premier objectif est la plage de Kérity à environ 6 nm. Le ciel est encore gris, nous avons même eu un petit crachin breton au réveil. La météo nous promet que tout ça va se dissiper.
Nous naviguons sur une mer plate avec très peu de vent.
Nous naviguons en bord de côte et découvrons les ports de Lesconil et Guilvinec pour arriver sur la plage de Kérity proche de Penmarc'h le dernier bord se fait face à un vent un peu plus soutenu. Le gris se dissipe, et c'est pratiquement sous le soleil que nous réembarquons.
Les Etocs seront l'objectif de l'après midi. C'est un petit archipel de rochers qui restent découverts à marée haute. C'est aussi là que vit une colonie de phoques. Nous sommes à mi marée, sur une mer calme, les bonnes conditions pour la visite.
Nous pouvons facilement imaginer que, bien que très près de la côte, l'endroit est sûrement difficile par temps de houle, beaucoup de hauts fonds et de roches à fleur d'eau. Geneviève y échoue. Eric se laisse surprendre par une vague, pas encore le bon réflexe d'appui, mais il maîtrise parfaitement le réembarquement. Michel écope régulièrement son bateau, nous débarquons sur une roche plate pour un diagnostic. Un petit caillou est venu se loger entre la coque et le siège et a poinçonné la coque. Le caillou est chassé, le trou se rebouche, une bande adhésive permet de se rassurer. La bande ne tiendra que peu de temps mais le bateau ne prend plus l'eau. Après tous ces évènements, les phoques sont au rendez-vous, Pierre-Dominique est soulagé. Un long temps d'observation, puis nous quittons les Etocs pour un long bord au portant vers la plage du camping
C'est soleil, nous pouvons étaler les tables et pliants.
Nous profitons de ce beau temps chaud pour sécher les bateaux de Michel et Geneviève, un peu d'araldite pour le premier, un petit peu de bande adhésive pour le second, et retour à l'apéro.
Ce soir couscous maison préparé par Anny.
La soirée se prolonge par une promenade digestive à Lesconil.

Dimanche 30
Coef 61 PM 11h02 BM 16h24
Nous sommes levés tôt pour profiter pleinement de cette deuxième journée.
La tata de Martine nous a amené de la confiture et des pains doux, spécialité bigoudène.
C'est donc un super petit déjeuné que nous prenons.

Cette fois c'est route vers l'est ou sud est, vers Loctudy.
Il y a une petite brume à l'embarquement qui se dissipe rapidement. C'est encore sur une mer calme que nous nous dirigeons vers la pointe de Langoz pour découvrir le phare de la Perdrix et son damier gwenn ha du. C'est le phare qui marque l'entré du port.
Nous pénétrons dans l'anse nous laissons l'île Garo sur le bâbord, puis nous poursuivons en laissant l'île Chevalier sur le tribord. Nous sommes pratiquement sur l'étale de pleine mer, et nous nous laissons emmener jusqu'au château de Pont-l'Abbé. Il y a peu de fond, nous suivons le chenal qui fait une grande boucle pour avoir suffisamment d'eau sous le bateau.
Quelques débarquements à Pont-L'Abbé, et un manche de pagaie cassé. Bien que nous soyons sur un parcours côtier, nous apprécions d'avoir les pagaies de secours !
Nous regagnons l' Ile Tudy sur la descendante pour le pique-nique, ce bord est l'occasion de bien apprécier la pagaie traditionnelle pour ceux qui s'y essaient. L'objet gagne du terrain !
Après un petit café, merci Gérard, nous marchons un peu dans les ruelles puis nous réembarquons pour le retour. Une brume de chaleur arrive du large, et c'est sur une visibilité très courte que nous naviguons très groupés.
Nous sommes parfois obligés de naviguer bien au large, la mer ayant commencé à se retirer, et la zone et pleine de hauts fonds et de roches découvertes ou pire à fleur.

Avant le débarquement, quelques esquimautages dans une eau transparente. Geneviève exécute quelques exercices de déssalage.

Le passage par le camping nous permet rinçage et douches avant une collation, puis c'est le départ vers st-Nazaire.

Merci à Anny et Pierre-Dominique de nous avoir organisé ce super week-end pour découvrir leur région aux nombreuses facettes.

Kenavo ar wech all
Christian