lundi 27 avril 2015

Merquel Piriac

Samedi 25 avril 2015

Merquel Piriac

Marie-Laure, Françoise, Martine, Cathy
Hervé, Yannick, Franck, Alain, Alain, Roger, Christian

PM 9h51 coeff 50 BM 16h48
SSO à 4 B tournat SO à 5 B en fin de journée

Petit coefficient un vent annoncé plutôt au sud, nous choisissons de partir de Merquel.
La saison est démarrée pour les plaisanciers, le stationnement à la pointe de Merquel devient difficile. Le parking étant réservé aux « usagers ».
Nous y sommes cependant admis le temps de nous changer et d’y déposer nos bateaux.
Nous trouvons un bon vent de face sur une mer belle dès que nous doublons la jetée. Nous naviguons en bord de côte. Cette fois, nous atteignons Piriac après avoir essuyé une belle averse.
Le rythme est soutenu, Hervé et Martine donnant le tempo en K2. Franck à l’occasion de tester l’Xcape de retour de réparation.
C’est une bonne remise en forme pour Roger qui retrouve la mer après une hibernation parisienne.
Nous nous rassemblons derrière le Port de Piriac à Port Kennet.
Nous mettons cap au large pour contourner la cardinale Nord du Grand Norven. Puis le départ est donné pour un retour au portant jusqu’à Merquel.
C’est ce que nous venons chercher sur ce lieu de navigation. Aujourd’hui la houle est faible, mais nous trouvons de beaux enchainements sur des vagues au dessous du mètre. C’est un bord très fun mais gourmand en énergie, il faut relancer en permanence pour être bien placés sur les vagues.
Et, comme à l’accoutumée, nous finissons sur de beaux surfs juste avant de rentrer dans le traict de Rostu. Nous n’avons pas eu la montée de vent prévue.
La séance se termine par quelques exercices de sécurité et quelques esquimautages.
La mer est basse à notre arrivée, nous débarquons derrière la jetée, il reste toujours suffisamment d’eau près de la cale.
Les kayaks déposés sur le haut du port de Mesquer, nous y ramenons les voitures le temps de se changer et de charger les bateaux. Puis c’est l’instant de convivialité sous le soleil, où nous pouvons discuter du prochain bivouac prévu à Groix.
Nous avons parcouru près de 9 Nautiques.



lundi 20 avril 2015

Sauvetage en kayak

Samedi 18 avril 2015

 Au Croisic : BM 11h28, PM 17h21 coeff 110
4 Beaufort ENE fraichissant

Martine, Françoise,
Franck, Hervé, Alain, Yannick, Michel, Christian

Secours en mer en kayak

La météo nous annonce un 4 Beaufort ENE fraichissant en fin d’après midi. La marée est montante avec un fort coefficient. Nous nous dirigeons vers Le Croisic pour un embarquement à partir du terre plein central, et une navigation au-delà de la pointe du Croisic.
Au moment de nous préparer pour la navigation, la température est basse, les vents d’est sont froids.
Sans hésiter nous enfilons nos tenues d’hiver, sans oublier les casques en prévision d’une navigation en rase cailloux. Nous observons un joli clapot dans l’entrée du Traict. Nous embarquons sur de l’eau calme à l’intérieur du port, puis nous prenons le chemin de la jetée du Tréhic. Quelques surfs sont tentants, mais nous revenons rapidement le long des quais pour profiter d’un peu d’abri, et ne pas être au plus fort du courant de la marée montante qui remplit le traict. C’est un bord physique jusqu’à ce que nous atteignions l’extrémité de la jetée du Tréhic. C’est une bonne remise en train pour Michel qui n’a pas navigué depuis un certain temps.
Les conditions sont beaucoup plus clémentes une fois arrivés dans la baie de St-Goustan. La mer est belle, il n’y a pratiquement pas de houle. Nous poursuivons pour passer la pointe du Croisic, puis, bien à l’abri des vents nous pagayons le long des falaises rocheuses jusqu’à Port Lin.
C’est le moment du retour, le ciel est clément et le vent qui nous aurait été favorable semble plutôt mollir.
Un peu avant de franchir à nouveau la pointe du Croisic, Martine et Françoise entament quelques exercices de sécurité, programme de préparation pour une longue sortie.
La navigation reprend, et c’est en arrivant à Port aux Rocks qu’Alain, resté en arrière garde, lance un appel sur la VHF. 3 personnes, dont une ne sachant pas nager, se sont laisser encerclées par la marée montante. Jour de grande marée, le rocher pourrait bien être bientôt complètement recouvert !
Nous nous rassemblons pour définir une stratégie. 3 kayaks se mettent en radeau, et un 4ème remorque le radeau. Nous donnons un gilet à la personne ne sachant pas nager. Les naufragés seront ramenés à la côte l’un après l’autre en s’allongeant sur le radeau à l’arrière des kayakistes, tandis que les bateaux disponibles ramèneront le matériel de pêche et les quelques accessoires.
Dans cet exercice, Yannick et Christian laisserons un peu de gelcoat sur les roches, il a bien fallut que le radeau s’approche au plus près malgré les vagues qui se brisent contre les rochers.
Les promeneurs qui observent la scène nous applaudissent une fois les 3 personnes mises en sécurité.
Nous avons passé du temps sur cette intervention, le retour au port du Croisic se fait sur l’étale avec peu de courant dans l’entrée du Traict.
Le beau temps est revenu, nous apprécions de nous changer au soleil.
Christian



lundi 13 avril 2015

bel après-midi printanier

Samedi 12 avril 2015

Au Croisic : PM 9h37 coeff 55 BM 16h20 coeff
Vents OSO 4 B mollissant

Françoise, Martine, Cathy
Yannick, Marc, Alain, Hervé, Christian

Peu de monde sur le tarmac de départ, nous ne sommes que 8. C’est un bel après midi qui s’annonce après un petit crachin dans la matinée. Françoise suggère une navigation vers Dumet, nous sommes peu de monde, peu de houle, peu de vent, beau soleil, l’idée fait l’unanimité, nous choisissons même d’embarquer à Lérat, histoire de prolonger le plaisir.
Cathy profite de l’occasion pour tester une nouvelle pagaie sur un bord long !
Les touristes ne sont pas encore arrivés, mais quelques travaux compliquent le stationnement.
C’est sur une mer belle que nous embarquons sur la plage de Lérat ; il n’y a pas d’eau dans le petit port. Nous suivons ensuite la côte rocheuse jusqu’à la pointe du Castelli. Très peu de vagues à cet endroit ou nous rencontrons souvent quelques déferlantes. Yannick et Hervé trouvent quelques surfs près des rochers plus au large.
Les conditions étant sereines, la visibilité très bonne, chacun y va à son propre rythme, et le groupe s’étale sur l’eau. Le regroupement se fait face à la plage nord est de Dumet. Puis, sans débarquer, nous continuons notre périple en contournant l’île par le nord. Le niveau d’eau est bas, nous trouvons quelques passages entre les rochers, c’est pour le fun !
Une fois tout le monde passé, nous enchaînons le retour. Cap le Castelli, facile à repérer avec ses grandes antennes.
Ce retour se fait au portant. Nous trouvons de beaux surfs principalement en début  et en fin de parcours. Le groupe s’étale à nouveau. Nous n’avons pas tous les mêmes facilités à surfer. Martine donne toute son énergie pour ne pas se faire distancer par Hervé qui semble rebondir de vague en vague !
La renverse ayant eu lieu, nous trouvons un passage à contre courant près du sémaphore, puis nous reprenons les surfs pour atteindre le petit port de Lérat
Il est près de 18h quand nous débarquons, malgré un peu de fatigue physique, nous n’avons pas vu le temps passer dans cet après-midi printanier !
Nous avons parcouru environ 9 milles nautiques, bel entrainement pour Cathy dont l’objectif est la randonnée aux 7 îles !
Christian


vendredi 10 avril 2015

au bout du bout

Au bout du bout

Week-end de Pâques
Samedi 4, Dimanche 5, Lundi 6 Avril 2015

Anny, Martine, Geneviève,
Pierre-Dominique, Hervé, Marc, Benoit-Xavier, Christian.


Ce qui était prévu, c’est une randonnée et bivouac sur les îles d’Houat et Hoëdic, mais la météo incertaine, principalement un fort vent d’Est le lundi, nous oriente sur une autre option.
Nous optons pour un week-end en Cornouaille, avec nuit dans une maison.

Samedi 4 avril 2015
A Douarnenez : BM 12h02, PM 18h05 coeff 86
Vents NNE 4B

Nous quittons le club à 7h30 pour arriver sur le port de Tréboul à Douarnenez à 10h30. Un peu d’inquiétude à l’arrivée en constatant que c’est jour de marché, cependant le stationnement des véhicules et de la remorque sur le terre plein du port ne pose aucun problème. Nous prenons nos sacs de pique-nique pour déjeuner face au port Rhu et face à l’île Tristan.
A 12h, nous sommes prêts à naviguer, la mer est au plus bas, l’embarquement se fait sur la grande cale du port de plaisance. Puis nous sortons vers la mer en laissant l’île Tristan sur le tribord.
Nous naviguons en ras de côte dans le ressac pour subir au minimum les vents de Nord Est. Cette côte très accidentée n’offre pratiquement pas de criques ou plages pour débarquer. Au bout de deux heures de navigation, après avoir franchi la pointe de Leydé, la pointe de la Jument, nous atteignons la pointe du Milier et son phare caractéristique collé au dos d’une maison. Le retour vers Douarnenez se fait un peu plus au large, les vents ont molli et nous bénéficions d’un léger surf. Le ciel gris toute la journée commence à s’éclaircir. Nous laissons Tristan sur tribord pour nous rendre directement au port du Rosmeur. Nous avons un fort clapot en longeant les digues. Nous retournons ensuite à notre lieu de débarquement sans oublier de visiter le port Rhu, le port musé où nous pouvons pénétrer à haute mer. Il y reste quelques vieux gréements et bateaux typiques ainsi qu’un cimetière de vieux bateaux.
Nous avons passé près de 6h dans nos kayaks, et parcouru environ 15 nautiques.
Nous finirons la Soirée à Landudec autour d’un sauté de veau préparé par Anny, précédé d’un potage maison amené par Geneviève. Après le repas, nous préparons la navigation du lendemain.

Dimanche 5 Avril
A Audierne : BM 12h17, PM 18h18 coeff 89
Vents toujours à l’Est à 4 Beaufort le matin mollissant l’après midi.

Aujourd’hui, nous naviguons dans la baie d’Audierne, avec l’intention d’atteindre la pointe du Raz.
Un départ d’Audierne a été envisagé dans un premier temps afin de trouver les vagues à surfer au retour dans l’entrée du Goyen. Mais après analyse des conditions et des distances, nous choisissons un départ depuis l’anse du Loch. Nous serons plus près de notre objectif. Il y a une grande aire de stationnement et la mise à l’eau est facile, c’est un mouillage avec peu d’eau à marée basse mais très bien protégé de la houle par une grande digue.
La mer est assez loin au moment de l’embarquement, il y a un peu de portage, heureusement c’est sur un fond dur.
Aujourd’hui c’est soleil, comme la veille, nous naviguons en ras de côte pour se protéger du vent favorable, mais froid. C’est aussi pour chercher quelques grottes dans lesquelles nous pouvons pénétrer en kayak. Au cours du voyage, nous découvrons les 3 petits ports aux cales très pentues en haut desquelles il y a un treuil pour la remontée des bateaux. Ces abris sont protégés par de petites digues naturelles complétés de maçonnerie de pierre. Ce sont les ports de Pors Loubous, Feunteun Aod et port de Bestré, le dernier petit abri avant de franchir la Pointe du Raz.
Après cette visite de Bestré, pour confirmer le lieu de débarquement du pique-nique, nous continuons jusqu’à la pointe du raz qui ne se trouve plus qu’à quelques encablures. Nous sommes sur l’étale de marée basse. Nous allons jusqu’à la passe Trouz Yar sans toutefois la franchir. Nous sommes au bout du bout et nous avons le plaisir de voir la renverse se faire et les remous s’installer. Nous faisons demi-tour avant de nous faire aspirer. Nous luttons contre un courant important au passage de la pointe de Koummoudoug. Les bouts de remorquage sont prêts. Geneviève est en queue de peloton encadrée d’Hervé et Christian, les encouragements suffisent, pas de remorquage ! Nous continuons au ras des rochers pour regagner le port de Bestré.
Le débarquement est stratégique en bout de cale proche des 45° de pente.
Nous sommes récompensés, c’est pique nique sur un plateau ensoleillé bien à l’abri des vents. Le repas se prolonge par une petite sieste récupératrice pour certains, et une petite visite sur les hauteurs pour les autres.
L’eau est montée, l’embarquement, bien que toujours technique, est plus facile. Une stratégie est rapidement mise en place.
Comme prévu, les vents sont tombés. Nous naviguons en ras de côte principalement pour découvrir quelques belles grottes. Le niveau d’eau étant plus haut, la houle restant faible, les accès sont facilités. Quelques entrées sont protégées par des éboulements de rochers.
Nous avons parcouru un peu plus de 10 nautiques en 4 h.
A l’arrivée dans l’anse du Loch, Pierre-Dominique initie quelques exercices de sécurité.
Après le débarquement, et une fois les bateaux chargés sur la remorque, un goûté de récupération est le bien venu.
Nous remontons dans les voitures pour une visite à pied à la pointe du Raz ainsi qu’à la baie des trépassés.
Ce soir, le potage de Geneviève et des Carbonaras préparés par Christian.
Nous préparons comme la veille la navigation du lendemain.

Lundi 6 avril 2015
A Concarneau : BM 12h54, PM 18h49 coeff 88
Vents à l’est 3 à 4 Beaufort.

Aujourd’hui, c’est une navigation dans la baie de Concarneau, sur notre chemin de retour vers St-Nazaire. Pierre-Dominique et Anny ne nous accompagnent pas, mais Anny nous a indiqué un programme.
Nous stationnons sur le parking à la pointe de Beg Meil, près du sémaphore. Il y a une cale à proximité pour descendre sur la plage.
Après embarquement et un petit problème technique vite résolu sur le bateau de Benoit-Xavier, nous entrons dans la baie de Concarneau. Les vents toujours à l’est et toujours frais. Comme pour les jours précédents, nous naviguons en ras de côte, autant pour jouer dans les rochers que pour se protéger du vent.  Il est un peu plus de midi quand nous atteignons les abords de Concarneau, la mer est au plus bas, nous optons pour le pique-nique  avant la visite du port et de la ville close.
Martine suggère de naviguer encore un quart d’heure pour atteindre la plage du fort de la pointe de Cabellou. Nous y sommes au soleil et bien à l’abri du vent d’est. Un peu de farniente après le repas puis nous réintégrons nos kayaks, la marée montante commence à lécher les pointes arrière.
Nous retournons dans le Port de Concarneau, le niveau d’eau est insuffisant pour faire le tour complet de la ville close. Après cette visite, nous mettons cap sur la pointe du Cabellou en arrondissant pour limiter l’effet du vent de face. Puis nous doublons cette pointe pour prendre ce vent en arrière en mettant cap sur le sémaphore de Beg-Meil. Nous franchissons les 2,20 nautiques qui séparent ces deux pointes en une demi-heure ! C’est un bord au portant avec de beaux surfs en arrivant à Beg-Meil. Merci à Anny pour cette suggestion de navigation.
Nous avons parcouru 12 nautiques.
Après le goûté au soleil et quelques boissons rafraîchissantes, c’est le retour à St-Nazaire
Christian