mardi 31 mars 2015

Bravo Cathy

Samedi 28 mars 2015

Au Croisic : PM 12h45 coeff 38 BM 17h34
Vents OSO 5B

Cathy, Martine, Françoise,
Franck, Marc, Hervé, Alain, Yannick, Christian

C’est un petit coefficient, les vents sont bien installés et ils soufflent Ouest Sud Ouest à 5 Beaufort nous dit la météo. Difficile dans ces conditions de trouver un terrain de jeu abrité.
Nous partons pour la pointe de Merquel.
En cette saison, le stationnement est facile sur le parking du petit port, il y a peu de bateaux au mouillage, et sur ce petit coefficient nous avons de l’eau pour embarquer à l’abri derrière la jetée de Merquel.
Dès le passage de la jetée, nous trouvons le vent annoncé, de face, nous naviguons au plus près de la côte pour progresser vers Piriac. Cathy n’est pas la première du groupe mais elle ne se laisse pas impressionner par ces conditions difficiles !
Bien que nous faisons quelques pauses, le groupe s’étire sur ce bord très physique. Cathy, moins expérimentée, tient le coup en étant toujours accompagnée par quelques kayakistes plus aguerris qui se relaient en fin de peloton.
Comme pour notre sortie du mois dernier au même endroit dans les mêmes conditions, nous n’irons pas jusqu’à Quimiac. Depuis la Table du Diable, Alain informe par VHF la queue du groupe que nous mettons cap au large pour entamer ensuite un bord au portant pour le retour vers Merquel.
C’est en réalité pour retrouver ces bonnes sensations de navigation dans une houle portante que nous avons choisi ce lieu et fait ces efforts.
C’est donc sans surprise en prenant beaucoup de plaisir que nous enchaînons les surfs jusqu’à la jetée de Merquel. La marée étant descendante, à l’entrée dans le traict, nous trouvons une série plus impressionnante. Belle expérience pour Cathy qui malgré quelques retenues à bien goûté au plaisir de naviguer sur une mer formée et ventée !
Christian

dimanche 22 mars 2015

La marée du siècle au Pouliguen ?

La marée du siècle au Pouliguen ?

Samedi 21 mars 2015

Françoise, Anny, Martine,
Bruno, Pierre-Dominique, Marc, Alain,
Yannick, Hervé, Franck, Christian.

BM 11h37, PM 17h18 coeff 119
Vents NE 5 B

C’est la marée du siècle ! Gros coefficient de 119 !
Aurons nous de l’eau au départ ? Il faut aussi penser au débarquement du retour au moment de la pleine mer qui aura atteint les digues et les falaises faisant disparaitre les plages !
La basse mer est à 11h 37 à St-Nazaire, l’embarquement sera proche de la mi-marée, les vents sont Nord-Est et peu de houle annoncée, nous optons pour un bord sur la côte sauvage au Pouliguen.
A notre arrivée, les pêcheurs à pied ont déjà quitté les lieux, le stationnement est facile. La mer est suffisamment haute pour l’embarquement. Nous enfilons les tenues étanches et les casques, et nous embarquons dans les bateaux en polyéthylène pour ce bord en rase cailloux. Quelques uns d’entre nous choisissent un bord plus classique en navigant au large tout en restant suffisamment près de la côte pour être protégés des vents de terre.
La Baie du Pouliguen est exposée aux vents, nous retrouvons de l’abri une fois passée la pointe de Penchateau ou nous sommes un peu secoués au dessus des rochers.
Ensuite c’est la partie « Fun » en cherchant les meilleurs passages entre les rochers tout en surveillant la houle pour être au bon endroit au meilleur moment.
Quand nous ressentons une bonne aspiration vers l’arrière, nous savons qu’une grosse vague va ensuite pousser fort, il faut rapidement orienter le bateau pour être prêt à cette poussée. Nous trouvons aussi des abris derrière les aspérités rocheuses qui brisent les trains de houle.
Tout cela n’empêche pas quelques montées d’adrénaline et quelques échouages. Tout le monde y aura droit, avec parfois le kayak porté par ses deux pointes entre deux rochers et peu ou pas d’eau sous le cockpit ! C’est dans ces moments que l’on attend une vague « juste ce qu’il faut » pour nous sortir de cette situation.
Après une situation difficile, Hervé choisira de repartir « à l’américaine » sur un rocher plat.
Marc aura moins de chance, le manche de sa pagaie coincée dans un rocher se brise. Il en sera quitte pour un bain et un départ de plage sportif avec une pagaie de secours apportée pas Alain.
C’est ainsi que nous arrivons jusqu’à la plage de la Govelle où nous retrouvons les kayakistes de retour de la plage St-Michel, petit port de Batz.
Nous regagnons ensemble l’anse de Toulin, les pagayeurs en bateaux polyéthylène cherchant toujours quelques passages derrière les rochers.
Le vent nord est 4 à 5 Beaufort nous accueille de pleine face au passage à la pointe de Penchateau.
La houle se brise contre les murs des propriétés créant des belles vagues verticales de ressac.
Nous sommes à une demi-heure de la pleine mer, la plage a pratiquement disparu.
Après le chargement des bateaux sur les voitures et la remorque, c’est le traditionnel goûté de récupération avec boissons chaudes.
Le retour au club se fera dans les bouchons des touristes venus observer la marée du siècle !
Christian



mercredi 18 mars 2015

expérience de navigation dans l’estuaire

Samedi 14 mars 2015-03-18
expérience de navigation dans l’estuaire

Cathy, Marie-Laure,
Hervé, Joël, Michel, Christian.

Vents NNO 4 à 5 B

PM 10h57 coeff 42 BM 17h01


Nous sommes 6 pour cette escapade. Nous avons prévu une sortie à la journée dans l’estuaire de la Loire ; un départ de Villès-Martin pour un aller retour à Paimboeuf.
La météo ne semble pas être au rendez-vous, et les vents sont annoncés Nord Nord Est à 4 Beaufort rafales à 5, soleil le matin, couvert l’après midi sans pluie.
Nous embarquons à Villès-Martin, la mer est plate, nous sommes abrités des vents. Nous restons rive gauche pour la remontée de la Loire pour ensuite traverser l’estuaire, et donc le chenal, face aux jetées de l’entrée du port de St-Nazaire. Arrivée à St-Brevin, nous rencontrons un courant contraire important créant notre première difficulté pour franchir la pointe de Mindin. Afin de ne pas être en retard sur la marée, Cathy sera remorquée pour ce passage. C’est ensuite après avoir franchi le Pont que nous trouvons de belles rafales de vent contre lesquelles il faut lutter. Nous décidons de mettre cap sur le Banc du Bilho que nous laisserons sur le bâbord pour trouver un peu d’abri. Marie-Laure sera à son tour remorquée pour l’aider à garder le cap, son bateau remontant au vent.
Nous faisons une halte sur l’îlot, où nous décidons d’abandonner l’idée de naviguer jusqu’à Paimboeuf. Les vents se renforçant, nous ne sommes pas sûrs d’atteindre notre but avant la renverse.
Nous faisons demi-Tour et filons au portant jusqu’au Pointeau. Le GPS de Joël nous annonce 5,5 nœuds sans pagayer. Après une navigation physique, c’est un bord « fun » avec quelques beaux surfs, principalement sous le pont. Joël et Hervé y feront 2 passages !
Nous débarquons au Pointeau, le ciel s’est couvert, et les vents sont toujours aussi froids. Nous laissons les bateaux sur la plage et nous nous réfugions dans un abri dans la dune pour le pique-Nique. Le soleil refait de courtes apparitions.
La température ne nous incite pas au farniente ! D’autant qu’un petit crachin semble apparaitre.
C’est sous un vent toujours bien présent et toujours aussi froid que nous remontons dans nos kayaks.
Nous effectuons un premier bord vers St-Brévin afin d’anticiper la dérive. Nous sommes sur la descendante, nous allons cumuler la dérive due au courant et la dérive due au vent.
Nous longeons la côte au plus près pour ne pas être dans le courant principal, tout en restant dans les zones où il y a suffisamment d’eau sous le kayak, la côte étant très plate sur cette rive.
La traversée s’effectue en bac face au courant et face au vent, Nous visons dans un premier temps les portiques des Chantiers Navals, puis au fur et à mesure de la dérive, la cheminée de l’usine d’élévation, le Building de St-Nazaire, les jetées de l’entrée du port, le milieu de la baie de Sautron et pour finir la pointe de Villès-Martin. Les courants sont de plus en plus marqués au fur et à mesure que nous nous approchons de la côte Nazairienne. Nous traverserons le chenal au plus court après y avoir observé les mouvements de navires.
Ce fut une belle expérience de gestion des courants et d’anticipation de dérive dans un environnement maritime à fort trafic.
Nous avons passé 5h sur l'eau pour 12 nautiques environ
Christian





dimanche 8 mars 2015

fitness à Dumet

Samedi 07 mars 2015

Fitness à Dumet

PM 17h35 coeff 88
SO à 2B

Anny, Marie-Laure, Martine,
Joël, Pierre-Dominique, Marc, Thierry, Michel,
Sylvain, Yannick, Hervé, Alain, Christian

Belle journée, les vents sont faibles, et le soleil est bien présent, serai-ce le printemps qui arrive ?
Le nombre de participants remonte, nous sommes 13 au départ. Les différentes occupations de février et la période d’épidémies d’hiver sont derrière nous.
Nous nous dirigeons sur le parking près de la SNSM pour un départ de la plage St-Michel. Le parking est déjà bien chargé à notre arrivée.
La visibilité est très bonne. La mer est belle, juste quelques vagues sur les plateaux rocheux près de la côte.
Le groupe s’étale sur l’eau, et c’est dans une cadence régulière et soutenue que nous atteignons l’île Dumet, nous avons légèrement dérivé vers l’est avec le courant de la montante.
Première pause près de la plage à l’est afin de rassembler le groupe et de récupérer de ce bord fitness. Ensuite c’est le tour de l’île au plus près de rochers. Peu de houle et peu de vagues, il faut toutefois rester vigilant quand nous cherchons les passages entre les rochers.
Puis après un rassemblement  derrière la pointe Sud-Est, c’est le retour à Piriac,  même cadence soutenue sur une mer toujours aussi calme. Les premiers arrivés profitent d’une belle vague de houle au dessus des rochers couverts par la marée haute pour effectuer quelques surfs.
Puis après quelques esquimautages nous permettant de constater que l’eau n’est pas si froide, c’est le débarquement. Nous croisons un groupe de kayakistes pornichétins venus passés la journée sur ce plan d’eau.
Nous échangeons ensuite, les boissons chaudes et goûté de récupération avant le retour au club.
Christian




mardi 3 mars 2015

Pas bien !

Samedi 28 février 2015

PM 14h10 Coeff 42
SSO 4 B

Pas bien !

Franck, Hervé, Yannick, Thierry, Pierre-Dominique, Christian

Nous sommes peux nombreux au départ, c’est mer descendante avec un petit coefficient. Nous décidons d’embarquer à Bonne Source pour un bord vers les îles.
Vu le peu de monde, l’Xcape est disponible, je le propose à Franck qui me dit « une autre fois ! » J’aime bien ce bateau, et j’y suis de plus en plus à l’aise pour les esquimautages. J’ai une jupe bien adaptée, c’est du confort de rester au sec toute la séance. J’opte pour l’Xcape.
Nous arrivons à Bonne source avec un petit crachin, et le temps est bouché. L’habitude est prise, en cette saison, ce sont casque et cagoule qui complètent l’équipement d’hiver. Il y a des belles vagues de bord, mais avec le grand hiloire, l’embarquement peut se faire en limite de flottabilité.
Yannick et Hervé, sitôt embarqués, effectuent leurs premiers surfs en attendant que tout le monde soit sur l’eau. Hervé y fera une belle chandelle enchaîné d’un tourniquet vertical, et bien sûr un esquimautage. La visibilité étant très courte, nous renonçons au bord vers les Evens, Nous contournons le port de Pornichet pour nous retrouver vers la plage face au casino. Vu du large, la mer descendante ne forme pas de très grosses vagues, notre jugement est peut-être altéré par nos dernières expériences. Nous descendons vers la plage sur les premiers surfs.
Au bord, c’est plus gros. Je laisse partir Pierre-Dominique, en appuyant pour laisser passer la vague.
Une nouvelle déferlante survient, et c’est rapidement le retournement, pas de panique !
Je me positionne au mieux pour l’esquimautage à venir. Secoué dans la vague, je m’accroche à la pagaie pour ne pas me la faire arracher. Plusieurs tours plus tard, moins brassé, j’esquimaute et je me retrouve très près de Pierre-Dominique, très heureux d’avoir vaincu cette première vague.
Hélas, mon bateau est plein d’eau, et je n’ai pas déjupé. Je débarque sur la plage pour vider le Kayak.
C’est la fin de la séance pour moi, la performance est vite ternie par le constat d’une belle déchirure dans la coque de l’Xcape.
C’est à pied par la plage que je vais chercher voiture et remorque pendant que la séance continue pour le groupe.
Christian