mardi 26 juin 2012

Le Croisic St-Nazaire 23 juin 2012

Samedi 23 Juin 2012
Le Croisic St-Nazaire, Arrêt pique-nique aux Evens 
 Gérard, Roger, Anny, Pierre-Dominique, Françoise, Marie-Laure,
Mélanie, Martine, Sylvain, Philippe, Hervé, Michel, Thierry, Christian 
   


Hé bien non, nous ne sommes pas allés comme prévu à l’île de Sein, la météo en a décidé autrement, nous nous replions sur une sortie locale : Le Crosic, St-Nazaire.
Les conditions sont réunies :
Le vent est faible et bien orienté, Sud Ouest 2b puis 3b l’après midi.
La mer est basse à 14h12, la montante nous sera favorable pour rentrer à St-Nazaire.
Autre argument : phiphi avait déjà préparé le dessert, nous le dégusterons aux Evens au pique-nique du midi.
Le rendez-vous est donné à 8h au club, nous laissons quelques voitures à Villès et nous sommes à 9h30 à St-Goustan au Croisic. A 10h comme prévu, nous sommes sur l’eau.
Le premier bord se fait en longeant la côte sauvage, sur une mer calme. Philippe ne manquera pas de déssaler surpris dans un passage entre les rochers. Sylvain qui l’accompagne l’assiste pour le réembarquement. Philippe repart avec ses quelques égratignures sur les bras et mains.
La route va être longue pour Mélanie, plusieurs gentlemen vont se relayer avec une remorque chaque fois que le besoin va s’en faire sentir. Tout ceci nous permet de nous maintenir dans les techniques de sécurité et d’assistance.
Nous nous éloignons de la côte un peu avant la pointe de Penchateau au Pouliguen pour mettre cap sur le Evens.
Nous débarquons à 13h30, nous sommes dans les temps. Une petite sieste de très courte durée, un quart d’heure parce que certai(nes) ont insisté, est accordée après le pique-nique
C’est pour bien digérer le bon gâteau aux abricots frais avant de reprendre la pagaie.
A 14h15 Christian donne le top départ pour rester dans les temps prévus. Puis à 14h30, nous sommes tous à nouveau sur l’eau cap Bagueneau, Pierre Percée, Le Grand Charpentier.
C’est l’étale, et la mer est facile. Nous trouvons un peu de surf portant entre Pierre Percée et Grand Charpentier.
Un dernier arrêt-rassemblement au Grand Charpentier, puis on fait route sur Villès Martin, en restant au large pour profiter du courant de la marée montante. Mélanie connaît déjà ce parcours, elle l’effectue sans assistance. Ce bord au large nous permet également de bien profiter des surfs jusqu’à la pointe de l’Eve.
16h30 nous débarquons à Villès. Nous avons parcouru environ 16 miles nautiques.
Nous retrouvons André qui nous a ramené la remorque à destination, ce qui nous fait gagner un temps important en logistique.
Tandis qu’une partie de la troupe rince et range les bateaux, Hervé véhicule les chauffeurs des voitures restées au Croisic. 
Christian

dimanche 17 juin 2012

Le Croisic 16 juin 2012


Le Croisic.
Pierre-Dominique, Anny, Françoise, Cathy, Jean-Claude, Yannick, Bruno, Marc, Thierry, Alain L, Franck, Phiphi, Philbi, Marie-Laure, Benoît-Xavier, Michel(nouvel inscrit)et Hervé soit un groupe de 17 pagayeurs.
PM;15h43, coef; 57 et vent annoncé à 5bf de OSO.

Après un briefing avec un des éléments moteur du groupe pour une mise au point de la prochaine sortie, alors qu'il ne peut nous accompagner cet après midi, nous décidons de prendre la direction du Croisic où nous espérons trouver un terrain de jeux pouvant convenir à tous ou au moins à la majorité. Après chargement et vérifications nous prenons la route qui nous donne l'occasion de découvrir Batz sur mer par des chemins détournés grâce à une déviation, on sent le début de saison même si le temps n'est pas forcement en accord. Le parking de l'îlot central est oublié et nous nous stationnons du côté de la cale du canot SNSM sur le mail du port Charly. L'embarquement se fait de préférence depuis la plage,car il faut en aucun cas encombrer la cale avec les bateaux.
Le plan d'eau entre Le Croisic et Pen Bron est abrité du vent et au large la mer moutonne un peu.
Nous longeons la jetée du Tréhic mais cette fois ci, à l'inverse d'une sortie récente, nous mettons tous le nez au vent et aux vagues en prenant le cap sur le Four dans le lointain, Le groupe s'étire de suite en fonction de la puissance disponible sous ce type d'allure. La tête du groupe stoppe pour effectuer un regroupement sur une mer agitée, exercice difficile au cours duquel Bruno perd une pédale de cale-pied et accessoirement l'équilibre nous permettant ainsi de travailler les remontées à bord .
Le groupe reconstitué, nous prenons le cap du Castelli pour naviguer par mer de travers bâbord.
L'exercice est plus difficile, la progression s'effectue en éventail et, pour ceux qui on peu « d'heures de vol », ce type d'allure nécessite de la vigilance et beaucoup de respect,(à prononcer avec l'accent Suisse). La encore, le groupe s'étire et il faut redoubler de vigilance afin d'éviter de perdre de vue un pagayeur. Ce nouveau regroupement effectué, nous changeons à nouveau de cap,,direction le château d'eau de la Turballe pour profiter des vagues arrière et des surfs qui vont avec. Chacun en profite, Cathy passe à l'eau; seuls ceux qui ne sont jamais tombés au surf ont le droit de rigoler et là je pense que nous pouvons ranger nos dix doigts. Après ce nouvel exercice de sécu, nous aurons le loisir de recommencer avec Phiphi, Il est temps pour nous de faire un dernier virement de bord, de mettre le cap sur Le Croisic par mer de tribord et là encore les options divergent par petits groupes entre le feu de Tréhic et une route vers l'arrondi de la jetée pour toucher plus tôt une mer un peu moins agitée. Le calme de la jetée retrouvé nous retournons vers la cale SNSM où les plus joueurs finiront par la séance esquimautage agrémentée d'une démonstration Groenlandaise par Pierre-Dominique sur Xtrème .
Après les vêtements secs, les gâteaux secs également, le chargement des bateaux il est temps de prendre le chemin du retour car la destination du Croisic est toujours l'occasion d'une rentrée assez tardive à la maison.
En conclusion une belle sortie permettant de se tester sur des conditions de mer à différentes allures auxquelles nous pouvons être confrontés lors de randonnées.
Hervé




dimanche 10 juin 2012

Le Grand Charpentier

Samedi 9 mai 2012

Championnat de France de kayak-polo

(masculin !)

Samedi 9 juin 2012. C'est ma troisième randonnée en kayak avec le SNOS. Il ne fait pas chaud, j'emporte ma combinaison intégrale (là, vous remarquerez tout de suite le vieux loup de mer, avec une looongue expérience en catamaran : au moins sept sorties en rappel !)
Arrivée à l'étang du Bois Joalland, première épreuve : se garer. Impossible de s'approcher de la base nautique, il y a une barrière, et douze mille voitures garées devant ! (Qu'est-ce qui se passe ? Une pancarte indique : championnat de France de kayak-polo. J'y crois pas ! Un championnat de FRANCE !!! Chez nous, à St Naz les bains ! Mazette !)
Je ne me laisse pas abattre pour si peu : avec un peu de patience, j'arrive à dégotter une place, et je finis à pieds ! Il y a des tentes blanches installées partout, avec des Adonis en train de se changer dedans. Je croise Brad Pitt et ses quatre frères, tous en muscles et en gilets de sauvetage. Je fais celle qui en a vu d'autres...
J'arrive enfin au local du SNOS, où je retrouve des visages connus... et d'autres moins. A force de voir des nouvelles têtes, j'ai du mal à retenir les prénoms, sauf ceux des filles (normal, il y en a nettement moins !). La dernière fois, j'ai demandé à Sylvain de m'aider... mais il avait un trou de mémoire !
A part Martine, Viviane, Françoise et moi, il n'y a que des mecs ici. J'espère que Cathy va venir ! On se sent un peu en minorité...
Aujourd'hui, les costauds ne perdent pas de temps à tergiverser : on va à Villès-Martin, c'est décidé. On attend 14h, des fois que Cathy soit en retard, mais non, elle ne viendra pas. Je suis un peu déçue, je vais me sentir seule. En plus, il se met à pleuvoir ! (Remarquez, c'est le bon côté des sports d'eau : on s'en moque un peu qu'il pleuve, mouillé pour mouillé...)
Sur le trajet, Christian me demande si cela me fait peur de faire la traversée (de l'Estuaire je suppose) : "bien sûr, mais vous serez là !" Ensuite, ils se mettent à raconter des histoires de gars malades en kayak. (Comment ça ? On peut avoir le mal de mer en kayak ? Difficile à concevoir... J'ai déjà eu le mal de mer sur un gros bateau, mais jamais sur un petit.) Sur la mer, on voit de l'écume (je ne suis pas une experte, mais ça veut dire qu'il y a des vagues, ça j'en suis sure ! Quand est-ce que j'aurai droit à une sortie calme ? Sans vent, sans vagues, bref, normale quoi !)
Enfin, on arrive à la base nautique : une éclaircie nous accueille, c'est de bon augure ! On se change vite fait, et nous voilà à l'eau. Finalement, on ne traverse pas, on file sur le phare du Grand Charpentier. Il y a un peu de vent, mais pas trop, et les vagues sont toutes petites : ça me va.
Rapidement, le groupe prend de l'avance, et change de direction. Qu'est-ce qu'ils font ? Je n'y comprends rien ! Je m'applique à pagayer en tournant bien les épaules, j'ai l'impression de progresser, c'est chouette... Et là, voilà un costaud qui me dit : "Essaie de garder la tête bien droite, tu dodelines de la tête sans arrêt !" (Zut ! Zut ! Je me dis en moi-même. Entre vous et moi, je n'utilise pas ces mots-là, mais les vrais ne passeraient pas à la censure !) Le problème, c'est que je ne vois pas ce que je fais ! (Ben oui, vous imaginez la tête des costauds s'ils me voyaient débarquer avec mon miroir de poche ! Autant venir avec la trousse de maquillage complète !)
Pendant ce temps, Viviane nous a abandonnés, l'air de rien : elle s'est dirigée vers le rivage, alors que le groupe partait en sens opposé. Nous ne sommes plus que trois féminines dans l'équipe !
Je crois que j'ai compris pourquoi le groupe a bifurqué : ils ont trouvé un spot à vagues, et ils s'amusent à surfer ! Le temps que j'arrive à leur niveau, ils repartent vers le phare. Et moi, je me repose quand ?
Bon, tant pis ! Je m'applique à regarder bien droit devant, tout en tournant le buste et en évitant de forcer trop sur les bras (la première fois, j'ai eu des courbatures atroces aux muscles des mains, à force d'être crispée sur ma pagaie !!!) J'avance, mais j'ai du mal à respirer, à cause du col de ma combi qui m'étrangle. Au bout d'un moment, je n'y tiens plus : il faut que je remette cette satanée combi en place ! Mais, assise dans le kayak, c'est impossible. Alors je descends à l'eau : je tire sur le néoprène, c'est pas facile, mais voilà, j'ai réussi à donner du mou dans le dos, et je peux à nouveau respirer. En plus, l'eau est bonne !
Pour remonter dans le kayak, je fais comme le premier jour, près de la plage : avec quelqu'un qui me tient le kayak, ça passe bien. (Là, je suis très fière de moi, mais je me garde bien de le dire aux deux costauds qui m'escortent, parce qu'eux, tout ce qu'ils voient, c'est qu'on a perdu le groupe de vue, à force de traîner !)
On repart donc, et plus ça va plus les vagues grossissent ! Le problème, c'est qu'on s'éloigne du rivage, et donc des repères. Petit à petit, je me sens bizarre... Je me concentre sur les conseils de mon escorte : pagayer fluide. Facile à dire ! Qu'est-ce qu'ils s'imaginent, que je fais exprès de faire n'importe quoi ?
Les vagues sont bien formées maintenant, et je me sens comme sur des montagnes russes : j'adore les grands-huits, mais d'habitude, ça dure trois minutes et puis c'est fini ! Plus ça va, plus je me sens comme ce chat qui avait cherché un endroit tranquille pour faire la sieste : il s'était caché dans le tambour du lave-linge. Un peu plus tard, la porte du hublot s'était refermée, et la machine s'était mise en marche... Ben voilà, je suis pile au moment où le tambour tourne à plein régime !
Alors, je me concentre encore plus sur mes gestes, et je me motive en regardant le phare : on s'en approche, lentement mais surement...
Je suis super contente de retrouver le groupe : ils surfent autour du phare. Ils ont l'air de bien s'amuser ! Mes deux escortes vont jouer avec eux ; Françoise me prend sous son aile, pour que je puisse me reposer enfin...
Hélas ! Ma joie est de courte durée ! Dès que je cesse de pagayer, le mal de mer s'intensifie, et devient très vite insupportable ! Les autres sont sympas, ils me demandent comment je vais, et me proposent des fruits secs.... Mais je n'ai pas faim, mais alors pas du tout !!!
On ne s'éternise pas, on prend le chemin du retour ! Cette fois-ci, la houle nous porte, et on avance nettement plus vite ! Le moral remonte en flèche : j'arrive même à faire un petit bout de surf sur une vague ! Whaou !
Mais j'ai encore le mal de mer, et je commence à fatiguer sérieusement. En plus, les vagues sont un peu croisées, et personne n'arrive à surfer proprement. Je donnerais mon royaume pour mettre pied à terre quelques minutes, et pouvoir souffler un peu ! Mais je ne peux pas arrêter de pagayer, sinon je vais vomir...
Je remarque que mon escorte s'est renforcée, mais je suis incapable de vous dire de qui elle est composée. Je suis dans un état second, comme si j'avais trop bu... J'ai le moral dans les chaussettes. Le premier qui me fait une remarque sur ma façon de pagayer, je l'envoie valdinguer !
Et ça ne loupe pas : en voilà un qui trouve que je pagaie moins efficace (Et toi, tu conduis mieux quand t'es bourré, peut-être ?!) Alors je peste contre ces (censuré) de vagues et ce kayak qui ne m'obéit pas ! (C'est marrant, ils sont tous gênés de m'entendre gueuler ! Si j'étais un mec, ils trouveraient ça normal, non ? Du coup, ils s'éloignent un peu, pudiquement...)
Je cherche comment me redonner du courage. En racontant des blagues ? Je ne suis pas en état de raconter correctement... Alors je chante. La première chanson qui me vient à l'esprit : une berceuse indienne que je fredonnais à mes enfants pour les endormir. Elle est jolie, je me souviens des paroles, mais je ne chante pas trop fort, ils vont me prendre pour une folle... N'empêche, ça fonctionne ! Je pagaie au rythme de la chanson, et mes mouvements redeviennent plus efficaces. En tous cas, on a dépassé Michel !
A l'arrivée, j'hallucine : Françoise est en train de remorquer un kayak... vide !!! (Qui a mis de la vodka dans ma Vittel ?) Bon, il paraît que Christian est à la baille : je ne cherche pas à comprendre... Martine a encore la force de faire quelques exercices de retournement : cela me donne envie, mais les vagues n'arrêtent pas de me chahuter, alors je déclare forfait.
Et voilà ! Le retour tant attendu sur la terre ferme ! La faim qui revient : c'est bon d'avoir à nouveau envie de manger ! Mais en même temps, je ressens une pointe de nostalgie : on était bien sur l'eau, je n'avais pas vraiment envie de rentrer ! Alors je regarde Pierre-Dominique essayer le nouveau kayak prêté par la Sirena : il esquimaute avec une telle aisance, ça fait rêver !
"Ce soir, tu vas bien dormir !" Les costauds m'encouragent, ils me félicitent d'avoir fait la sortie jusqu'au bout. (Pourquoi, vous en doutiez ? En tous cas, merci de m'avoir aidée : sans vous, je ne l'aurais jamais fait !)
Pour finir, quand Christian me demande (en plaisantant ?) si je veux faire le compte-rendu cette fois-ci, je réponds "Oui !" sans hésiter !
Quand même, je me demande si je ne vais pas essayer le kayak-polo l'année prochaine : eux, ils restent bien à l'abri du vent et des vagues, sur le lac... Vous croyez que c'est possible avec une pagaie rose à fleurs ?


P.S. Mon souffleur m'apporte les précisions suivantes :
Basse mer à 15h39 coeff 78 ; vents Sud Ouest 3 Beaufort.

On a parcouru environ 9 miles nautiques : l’aller avec le courant de la marée descendante, le retour avec le courant de la marée montante.

Les présents : Yannick, Françoise, Thierry, Viviane, Roger, Sylvain, Pierre-Dominique, Martine, Hervé, Michel, Alain, Franck, Christian, Mélanie, Michel, Jean-Claude.


Mélanie

dimanche 3 juin 2012

Pornichet port d'échouage Les Evens

Samedi 2 juin 2010
Pornichet port d'échouage – Les Evens.

Martine, Viviane, Françoise, Marie-Laure, Cathy, Anny, Béatrice,
Gérard, Alain, Alain, Franck, Sylvain, Michel, Thierry, Pierre Dominique,
Yannick et ses deux invités et Hervé
soit un total de 19 personnes sur l'eau.

La pleine mer est à 15h55 avec un coefficient de84, Prévimer annonce quelques vagues, aussi après avoir chargé nous nous rendons de façon peu groupé vers le port d'échouage où le stationnement est encore possible à cette période de l'année, mais cela ne devrait pas durer.
La taille du groupe, la chaleur et de petits nouveaux entraine un démarrage en douceur. Les vagues sont bien présentes mais il y a également pas mal de monde au bord nous mettons donc le cap sur les Evens après répartition des vhf. Nous retrouvons deux Rockpool récemment sortie de cale sèche pour remise en état suite à des mésaventures. Le groupe hétérogène s'étire sur une mer calme, se reforme et s'égaille à nouveau à l'arrivée d'une régate pour se retrouver aux Evens où les premiers jouent dans les vagues croisées. Un groupe part faire le tour de l'île et trouve des vagues à surf vers la pointe N, tout le monde finit par s'y retrouver. Les séries sont inégales, mais de temps en temps la poussée est au rendez vous, Alain R se met à l'envers et nous permet de faire un peu de sécu, Martine se fait surprendre, nous exécute un bel appui en suspension(pensez à garder les coudes au corps ) à l'aide de sa toute nouvelle Shuna mais ne redresse pas assez vite et finit à l'envers, au cours de sa récupération, Alain R surfant dans leur direction se renverse pour éviter une collision, sécurité encore.
Un petit groupe a pris le chemin du retour direct sur le vieux port tandis que le reste prend le cap de la Baule les Pins dans le but de contourner la régate, de rejoindre le bord et de le longer.
Quelques gouttes de pluie nous accompagnent, le vent est pratiquement tombé, le bord de mer est maintenant occupé par les surfeurs, les stand-up paddlers et autres waves-ski car les vagues sont belles à prendre. Michel en surf une qui l'oblige à sortir du bateau, il maitrise assez bien l'esquimautage mais il lui faut quand même un peu d'eau.
Une fois au vieux port, Françoise impulse une séance d'eskimos de groupe avant de débarquer.
Une bien belle sortie où Cathy nous a définitivement montré sa préférence pour la pagaie trad, et où Béatrice a découvert la nécessite de travailler le geste en souplesse et en rotation pour pouvoir durer.
Hervé.