jeudi 31 décembre 2020
La dernière de l’année !
Mercredi 30 décembre 2020. La dernière de l’année ! PM 16h52 coeff 78Vents NO 3 B pluie ! Claude, Frank, Alain, Sylvain, Thierry, Jean-Luc,
Christian.
C’est la dernière de l’année ! Nous serons sur la
montante, peu de vent peu de houle.
Un tout petit crachin au moment de charger les bateaux.
Nous partons pour le Port d’échouage à Pornichet. Le stationnement se fait sur
le boulevard de mer près des dunes de sable maintenant protégées. Le crachin a
cessé au moment d’enfiler nos tenues de kayakistes. Nous sortons du port d’échouage
pour mettre cap sur les Evens. La mer est belle, les vents sont faibles.
C’est sur un rythme soutenu et relativement groupés que
nous progressons vers les Evens.
Après quelques surfs, nous entamons le tour de l’île dans
le sens horaire. Nous prenons relativement large, la mer étant plus agitée sur
le côté exposé. Le ciel se grise, les grains apparaissent. La visibilité tombe.
Nous décidons de regagner la côte. La pluie nous accompagne maintenant. Le
retour se fait au portant. Le bord de plage est occupé par de nombreux
surfeurs, nous trouvons quelques trous pour y pousser nos kayaks. Ce sera l’occasion
d’un esquimautage en situation pour Sylvain et Jean-Luc. C’est toujours sous la
pluie que nous regagnons le port d’échouage. Après l’espoir d’une éclaircie, c’est
sous la pluie que nous retrouvons nos vêtements secs. Les biscuits et boissons
chaudes seront partagés sous un abribus !
Nous avons parcouru 6,5 nautiques, heureux d’avoir pu partager
cette dernière sortie de l’année.
Christian.
C’est la dernière de l’année ! Nous serons sur la
montante, peu de vent peu de houle.
Un tout petit crachin au moment de charger les bateaux.
Nous partons pour le Port d’échouage à Pornichet. Le stationnement se fait sur
le boulevard de mer près des dunes de sable maintenant protégées. Le crachin a
cessé au moment d’enfiler nos tenues de kayakistes. Nous sortons du port d’échouage
pour mettre cap sur les Evens. La mer est belle, les vents sont faibles.
C’est sur un rythme soutenu et relativement groupés que
nous progressons vers les Evens.
Après quelques surfs, nous entamons le tour de l’île dans
le sens horaire. Nous prenons relativement large, la mer étant plus agitée sur
le côté exposé. Le ciel se grise, les grains apparaissent. La visibilité tombe.
Nous décidons de regagner la côte. La pluie nous accompagne maintenant. Le
retour se fait au portant. Le bord de plage est occupé par de nombreux
surfeurs, nous trouvons quelques trous pour y pousser nos kayaks. Ce sera l’occasion
d’un esquimautage en situation pour Sylvain et Jean-Luc. C’est toujours sous la
pluie que nous regagnons le port d’échouage. Après l’espoir d’une éclaircie, c’est
sous la pluie que nous retrouvons nos vêtements secs. Les biscuits et boissons
chaudes seront partagés sous un abribus !
Nous avons parcouru 6,5 nautiques, heureux d’avoir pu partager
cette dernière sortie de l’année.
dimanche 27 décembre 2020
Encore une !
Samedi 26 décembre 2020 Encore une ! PM 14h39, coeff 54Vents OSO 4B Cathy, Frank, Yannick, Hervé, Olivier, Christian.
Un petit crachin au moment du chargement des bateaux !
La météo nous annonce un 4B qui peut monter à 5B voire 6B en fin d’après midi.
Nous optons pour une sortie raisonnable au départ de la base nautique de
Villès-Martin. Nous chargeons donc des bateaux en fibre !
La pluie a cessé quand nous nous changeons, et le ciel
est « gris clair » ! La mer est peu agitée, mais une petite
vague de bord donne un peu de piment à l’embarquement.
Nous sommes sur l’étale de pleine mer, nous partons vers
l’ouest, le vent sera favorable pour le retour. Nous naviguons en ras de côte pour
avoir le plus d’abri possible. A chaque pointe franchie, nous nous attendons à
un peu plus de mer !
Nous trouvons un peu de ressac après avoir doublé la
jetée de St-Marc, nous pouvons cependant continuer à naviguer en ras de côte,
et fait très rare, nous pouvons faire du « rase cailloux » entre St-Marc
et Chémoulin.
Passée la pointe de Chémoulin, nous piquons vers le large
pour un retour au portant.
Bord physique et technique comme attendu. Tant que la
vitesse n’est pas suffisante, c’est difficile de surfer. Nous sommes sur cette
mer jusqu’au passage de la pointe de l’Eve. Bord difficile pour Olivier qui n’a
pas navigué depuis longtemps. Nous avons encore quelques vagues jusqu’à l’Eolienne.
Pour la dernière longueur, il est souhaitable de se rapprocher
de la côte pour ne pas subir le courant de la descendante, mais en évitant de
trop s’abriter du vent qui nous pousse.
Après quelques grains essuyés sur l’eau, c’est un rayon
de soleil qui nous accueille au débarquement ce qui nous permet de prendre le
temps de déguster le Thé chaud de Frank, le chocolat chaud de Yannick, et le
vin chaud de Cathy. Une averse arrive donnant le top départ pour aller rincer
les bateaux au club.
Nous avons parcouru 7 nautiques.
Christian.
Un petit crachin au moment du chargement des bateaux !
La météo nous annonce un 4B qui peut monter à 5B voire 6B en fin d’après midi.
Nous optons pour une sortie raisonnable au départ de la base nautique de
Villès-Martin. Nous chargeons donc des bateaux en fibre !
La pluie a cessé quand nous nous changeons, et le ciel
est « gris clair » ! La mer est peu agitée, mais une petite
vague de bord donne un peu de piment à l’embarquement.
Nous sommes sur l’étale de pleine mer, nous partons vers
l’ouest, le vent sera favorable pour le retour. Nous naviguons en ras de côte pour
avoir le plus d’abri possible. A chaque pointe franchie, nous nous attendons à
un peu plus de mer !
Nous trouvons un peu de ressac après avoir doublé la
jetée de St-Marc, nous pouvons cependant continuer à naviguer en ras de côte,
et fait très rare, nous pouvons faire du « rase cailloux » entre St-Marc
et Chémoulin.
Passée la pointe de Chémoulin, nous piquons vers le large
pour un retour au portant.
Bord physique et technique comme attendu. Tant que la
vitesse n’est pas suffisante, c’est difficile de surfer. Nous sommes sur cette
mer jusqu’au passage de la pointe de l’Eve. Bord difficile pour Olivier qui n’a
pas navigué depuis longtemps. Nous avons encore quelques vagues jusqu’à l’Eolienne.
Pour la dernière longueur, il est souhaitable de se rapprocher
de la côte pour ne pas subir le courant de la descendante, mais en évitant de
trop s’abriter du vent qui nous pousse.
Après quelques grains essuyés sur l’eau, c’est un rayon
de soleil qui nous accueille au débarquement ce qui nous permet de prendre le
temps de déguster le Thé chaud de Frank, le chocolat chaud de Yannick, et le
vin chaud de Cathy. Une averse arrive donnant le top départ pour aller rincer
les bateaux au club.
Nous avons parcouru 7 nautiques.
Christian.
lundi 21 décembre 2020
Au moins une en décembre !
Au moins une en décembre ! Dimanche 20 décembre 2020. BM 15h14, PM 20h15 coeff 56Vents SO, 3B Cathy, Hervé, Yannick, Franck, Frank, Sylvain,
Christian. Vents forts le samedi, plus calme le dimanche, Franck
propose de faire une session surf le dimanche au Pouliguen.
Nous chargeons les bateaux polyéthylènes et nous partons
pour la plage, maintenant habituelle, près de la base nautique. Nous sommes proches
de la basse mer sur un petit coefficient.
La session démarre dans l’anse de Toulin à l’est des Impairs.
Nous sommes sur des vagues de 50 cm, très larges et déferlant sur de longues
distances. Ce sont de très bonnes conditions pour retrouver les bonnes
sensations. La zone de surf se déplace au fur et à mesure que la marée descend,
puis les vagues se font plus rares. Nous nous déplaçons sur la zone rocheuse
des grands impairs, et nous filons vers La Baule, un horizon « blanc »
nous attire.
Nous nous retrouvons, assez loin de la côte, dans un milieu
ou se forment de belles vagues déferlant sur une longue distance. C’est rien
que pour nous ! Pas de surfeurs, pas de kites, pas de planches à voile.
C’est sur ces belles séries que survient le premier bain
de Cathy, suivi d’un dessalage de Frank.
Sylvain se retourne également, le manche de sa Braca ayant
cassé dans un esquimautage en eau peu profonde ! La session pourra se
poursuivre, nous sommes équipés de quelques pagaies de secours.
Le ciel commence à se couvrir en fin d’après midi. Qu’importe !
Nous en avons bien profité, il est temps de rentrer. Nous ne mettrons pas cap
direct sur notre point de débarquement, mais nous traversons la baie en restant
parallèle à la vague afin de travailler les appuis ou les enroulements de
vague. Les plus vaillants exécuteront quelques esquimaux en eau froide avant le
débarquement.
Les gros nuages gris se sont un peu dissipés nous donnant
le temps de nous changer au sec.
Merci Frank pour cette belle proposition de sortie.
Christian.
Vents forts le samedi, plus calme le dimanche, Franck
propose de faire une session surf le dimanche au Pouliguen.
Nous chargeons les bateaux polyéthylènes et nous partons
pour la plage, maintenant habituelle, près de la base nautique. Nous sommes proches
de la basse mer sur un petit coefficient.
La session démarre dans l’anse de Toulin à l’est des Impairs.
Nous sommes sur des vagues de 50 cm, très larges et déferlant sur de longues
distances. Ce sont de très bonnes conditions pour retrouver les bonnes
sensations. La zone de surf se déplace au fur et à mesure que la marée descend,
puis les vagues se font plus rares. Nous nous déplaçons sur la zone rocheuse
des grands impairs, et nous filons vers La Baule, un horizon « blanc »
nous attire.
Nous nous retrouvons, assez loin de la côte, dans un milieu
ou se forment de belles vagues déferlant sur une longue distance. C’est rien
que pour nous ! Pas de surfeurs, pas de kites, pas de planches à voile.
C’est sur ces belles séries que survient le premier bain
de Cathy, suivi d’un dessalage de Frank.
Sylvain se retourne également, le manche de sa Braca ayant
cassé dans un esquimautage en eau peu profonde ! La session pourra se
poursuivre, nous sommes équipés de quelques pagaies de secours.
Le ciel commence à se couvrir en fin d’après midi. Qu’importe !
Nous en avons bien profité, il est temps de rentrer. Nous ne mettrons pas cap
direct sur notre point de débarquement, mais nous traversons la baie en restant
parallèle à la vague afin de travailler les appuis ou les enroulements de
vague. Les plus vaillants exécuteront quelques esquimaux en eau froide avant le
débarquement.
Les gros nuages gris se sont un peu dissipés nous donnant
le temps de nous changer au sec.
Merci Frank pour cette belle proposition de sortie.
Christian.
dimanche 1 novembre 2020
la dernière ?
Mercredi 28 octobre 2020
PM 14h52 coeff 69
Vents OSO 5B raf à 7
On se retrouve à 5 au club : Cathy, Hervé, Franck,
Yannick et Claude
« Dernière sortie avant 2ème
confinement ? » C’est la question que l’on se pose mais on a tous la
réponse …..même si la décision officielle ne sera donnée que ce soir ……
Donc on y va malgré une météo qui s’annonce agitée
(pluie, vagues de 3 m, marée haute à 15h)
Direction école de voile du Pouliguen ou nous embarquons
facilement à marée presque haute et sur une mer assez calme. Nous filons voir
ce qui se passe Pointe de Penchateau ou la mer s’agite.
Des vagues bien formées déferlent et si Hervé et Yannick
y vont direct, les 3 autres s’avancent plus prudemment. Ce qui n’empêche pas
Cathy de dessaler suite à une grosse vague et malgré un bel appui qui lui a
fait penser qu’elle éviterait le bain ! Yannick et Hervé font une « récup »
d’école et le groupe revient, en s’amusant dans des surfs arrière, vers la
plage entre la sortie du port du Pouliguen et le casino. Séance de surf et donc
appuis dans les vagues tout en surveillant la dérive pour ne pas se laisser
entrainer par le vent d’Ouest que l’on sent bien malgré la protection de la
cote. Il n’y a personne sur l’eau à part nous et un groupe de longe cote mais
beaucoup de promeneurs sur la plage. On passe l’après midi à s’amuser sans
risque même si certains se retrouvent à plusieurs reprises sur le sable mais
sans conséquence et sans dessaler.
En fin de séance nous revenons vers l’école de voile ou
nous retrouvons des vagues de surf « faciles ».
Retour au club et lavage des bateaux. Quand pourrons-nous
les retrouver et nous retrouver ?
Cela fait désormais un an que je partage vos séances et
suis vos conseils (j’essaie au moins !!) et donc je me sens mieux et
commence à m’amuser dans les vagues et à profiter (parfois) du paysage. Dommage
que Madame Corona s’en mêle de nouveau pour me priver de ces moments de
plaisir.
A bientôt j’espère !
Claude
dimanche 25 octobre 2020
Ça souffle !
Samedi 24 Octobre 2020Ça souffle ! PM 13h04 coeff 39Vents SSO 6B raf 7 à 8 B Hervé, Yannick, Franck, Sylvain, Christian.
Nous sommes 5 au club. On y va ou on y va pas ?
Après analyse de la situation, nous nous décidons pour un embarquement au
Pouliguen. Un grand classique, car c’est un des rares endroits sur nôs côtes où
on peut tenter de naviguer sur ces conditions. Nous chargeons les bateaux
Polyéthylènes.La baie de La baule est blanche par les vagues crées par
le ventAprès embarquement anse du Toulin près de l’école de
voile, nous avançons vers la pointe de Penchateau. Il y a bien des vagues, mais
le vent fort rend difficile les prises de surf, nous nous dirigeons donc vers
la plage Benoit. Nous sommes sur une mer difficile. Le vent fait facilement
chasser l’arrière du bateau au moment de la prise des surfs.Christian et Franck iront jusque sur le sable. Bien mal
leur en a pris car le retour en pleine mer n’est pas facile. Nous nous
rapprochons de l’entrée du port du Pouliguen pour y trouver un peu moins de
vents. Franck et Christian regagnent un peu plus tôt le lieu de débarquement
pour y travailler quelques esquimautages tandis que Yannick, Hervé et Sylvain
continuent de jouer dans les surfs, ils y feront les esquimautages en situation !Sortie venteuse et musclée, un grand classique sur ces
conditions météo !Christian.
Nous sommes 5 au club. On y va ou on y va pas ?
Après analyse de la situation, nous nous décidons pour un embarquement au
Pouliguen. Un grand classique, car c’est un des rares endroits sur nôs côtes où
on peut tenter de naviguer sur ces conditions. Nous chargeons les bateaux
Polyéthylènes.La baie de La baule est blanche par les vagues crées par
le ventAprès embarquement anse du Toulin près de l’école de
voile, nous avançons vers la pointe de Penchateau. Il y a bien des vagues, mais
le vent fort rend difficile les prises de surf, nous nous dirigeons donc vers
la plage Benoit. Nous sommes sur une mer difficile. Le vent fait facilement
chasser l’arrière du bateau au moment de la prise des surfs.Christian et Franck iront jusque sur le sable. Bien mal
leur en a pris car le retour en pleine mer n’est pas facile. Nous nous
rapprochons de l’entrée du port du Pouliguen pour y trouver un peu moins de
vents. Franck et Christian regagnent un peu plus tôt le lieu de débarquement
pour y travailler quelques esquimautages tandis que Yannick, Hervé et Sylvain
continuent de jouer dans les surfs, ils y feront les esquimautages en situation !Sortie venteuse et musclée, un grand classique sur ces
conditions météo !Christian.
jeudi 22 octobre 2020
Surf au Pouliguen
Mercredi 21 octobre 2020 Surf au Pouliguen Au Pouliguen BM 14h58, PM 20h21, coeff 76Vents 5B raf à 7B SO, molissants, houle
Cathy, Yannick, Hervé, Franck, Patrice, Thierry, Alexis,
Christian.
La pluie du matin s’est calmée, mais il reste du vent et
de la houle en début d’après midi.
C’est basse mer et les vents forts sont orienté sud Ouest !
Il nous reste une cote avec un peu d’abri en embarquant
près de l’école de voile du Pouliguen.
La mer est bien basse et nous voyons des vagues de vent
dans la baie. Nous n’irons pas jusqu’à la pointe de Penchateau, nous démarrons
la séance en surfant les vagues de la marée montante dans l’anse du Toulin.
Ces vagues ne sont pas très hautes, mais elles prennent
la largeur de la baie et nous emmènent sur de longs surfs. C’est très bien pour
une mise en conditions. Vagues faciles à prendre et ces longs surfs doux nous
permettent de bien travailler gites, appuis et écarts arrière. Nous nous
remémorons les techniques et conseils diffusés lors de notre dernier stage à
Plestin les Grèves !
La configuration évolue au fur et à mesure que la marée
monte, parfois les belles vagues sont du côté de la côte, parfois du côté des
Impairs, mais toujours de longs surfs à prendre.
Il y a enfin assez d’eau pour prolonger les surfs jusqu’à
la plage Benoit quand il est temps de finir la séance.
Au débarquement, tous heureux de cette session, et, ce
qui ne gâte rien, sous le soleil !
Christian.
La pluie du matin s’est calmée, mais il reste du vent et
de la houle en début d’après midi.
C’est basse mer et les vents forts sont orienté sud Ouest !
Il nous reste une cote avec un peu d’abri en embarquant
près de l’école de voile du Pouliguen.
La mer est bien basse et nous voyons des vagues de vent
dans la baie. Nous n’irons pas jusqu’à la pointe de Penchateau, nous démarrons
la séance en surfant les vagues de la marée montante dans l’anse du Toulin.
Ces vagues ne sont pas très hautes, mais elles prennent
la largeur de la baie et nous emmènent sur de longs surfs. C’est très bien pour
une mise en conditions. Vagues faciles à prendre et ces longs surfs doux nous
permettent de bien travailler gites, appuis et écarts arrière. Nous nous
remémorons les techniques et conseils diffusés lors de notre dernier stage à
Plestin les Grèves !
La configuration évolue au fur et à mesure que la marée
monte, parfois les belles vagues sont du côté de la côte, parfois du côté des
Impairs, mais toujours de longs surfs à prendre.
Il y a enfin assez d’eau pour prolonger les surfs jusqu’à
la plage Benoit quand il est temps de finir la séance.
Au débarquement, tous heureux de cette session, et, ce
qui ne gâte rien, sous le soleil !
lundi 19 octobre 2020
C’est tout plat !
Samedi 17 Octobre 2020 C’est tout plat ! BM 11h59, PM 17h48 coeff 115Vents ESE 3B Cathy, Martine,Franck, Franck, Hervé, Alain, Olivier, Antoine,Jean-Pierre, Claude, Patrice, Roger, Sylvain, Christian.
Vents faibles, pas de houle, mais gros coefficient !
On fait quoi ? Quelques idées s’opposent et se rejoignent pour un départ
du petit port de Gavy et tutoyer les courants vers le grand Charpentier.Nous chargeons les fibres, et Franck et Sylvain sont
venus avec leurs nouveaux bateaux.La mer est calme, pas de rides ! Nous filons vers la
pointe de l’Eve, la encore c’est très calme malgré le gros coefficient de
marée. Passé St-Marc, nous naviguons en ras de côte, cas très rare !Nous pouvons emprunter la passe longue sous le sémaphore
de Chémoulin, passe qui nous fait sortir Près des Jaunais. Attention toutefois
au rocher à fleur d’eau en bout de passe. Nous poursuivons en rase cailloux
jusqu’à la pointe de La Lande. Il y a suffisamment d’eau, et suffisamment peu
de houle pour passer à travers la petite grotte indiquée par Alain.Au vu des conditions, nous filons vers Pierre Percée,
premier cap vers La Vieille afin d’anticiper la dérive courant. Nous pouvons
tous passer dans les deux trous de ce rocher ! Cas également rare, c’est
une première pour certains d’entre nous, nous y passons plusieurs fois.C’est toujours sur une mer désespérément plate que nous
mettons cap sur le Grand Charpentier.Nous sommes près de la pleine mer, le plateau rocheux
ainsi que la digue et la rambarde sont sous l’eau. Pas le moindre petit clapot,
nous pouvons nous rapprocher pour toucher les pierres.Viens le moment du retour, sur la pleine mer, les
courants attendus se sont atténués.A l’arrivée, la température de l’eau nous incite à
quelques esquimautages, et pour les loupés, nous enchainons sur un exercice de
récupération.Christian.
Vents faibles, pas de houle, mais gros coefficient !
On fait quoi ? Quelques idées s’opposent et se rejoignent pour un départ
du petit port de Gavy et tutoyer les courants vers le grand Charpentier.Nous chargeons les fibres, et Franck et Sylvain sont
venus avec leurs nouveaux bateaux.La mer est calme, pas de rides ! Nous filons vers la
pointe de l’Eve, la encore c’est très calme malgré le gros coefficient de
marée. Passé St-Marc, nous naviguons en ras de côte, cas très rare !Nous pouvons emprunter la passe longue sous le sémaphore
de Chémoulin, passe qui nous fait sortir Près des Jaunais. Attention toutefois
au rocher à fleur d’eau en bout de passe. Nous poursuivons en rase cailloux
jusqu’à la pointe de La Lande. Il y a suffisamment d’eau, et suffisamment peu
de houle pour passer à travers la petite grotte indiquée par Alain.Au vu des conditions, nous filons vers Pierre Percée,
premier cap vers La Vieille afin d’anticiper la dérive courant. Nous pouvons
tous passer dans les deux trous de ce rocher ! Cas également rare, c’est
une première pour certains d’entre nous, nous y passons plusieurs fois.C’est toujours sur une mer désespérément plate que nous
mettons cap sur le Grand Charpentier.Nous sommes près de la pleine mer, le plateau rocheux
ainsi que la digue et la rambarde sont sous l’eau. Pas le moindre petit clapot,
nous pouvons nous rapprocher pour toucher les pierres.Viens le moment du retour, sur la pleine mer, les
courants attendus se sont atténués.A l’arrivée, la température de l’eau nous incite à
quelques esquimautages, et pour les loupés, nous enchainons sur un exercice de
récupération.Christian.
jeudi 15 octobre 2020
rase cailloux au Pouliguen
Mercredi 14 Octobre 2020 PM 15h54, coeff 79Vents NO 3 à 4B Cathy, Yannick, Franck, Alain, Claude, Roger, Thierry,
Christian.
Peu de houle, vents de Nord-Est, pleine mer dans l’après-midi !
Les conditions idéales pour un bord en rase cailloux sur la côte sauvage du
Pouliguen.
Nous nous rendons donc Passage de Renadin sur la petite
plage près de l’école de Voile.
La mer est haute pas de portage, nous ressentons bien le
vent frais de nord, nous sommes à l’abri et sous le soleil dès le passage de la
pointe de Penchateau.
Première halte avant de commencer la séance, nous nous
organisons en binômes. Principe de sécurité ! Chacun, tout en surveillant
le groupe doit savoir à tout moment ou est son binôme.
Nous progressons en cherchant les passes et en
surveillant la houle, avec parfois quelques montées d’adrénaline. Nous noterons
deux dessalages, Franck après un échouage sur les rochers, et Thierry que nous
remorquons en zone de calme avant le réembarquement. Il est 16h quand nous
arrivons à la baie du Scall, c’est le moment de faire demi-tour. Le retour se
fait également en rase cailloux.
Nous retrouvons le vent de Nord dès le passage de la
pointe de Penchateau, et les quelques surfs se font un peu en aveugle avec les
embruns qui nous reviennent dans la figure.
Nous effectuons quelques esquimautages à l’arrivée avant
le débarquement.
Christian
Peu de houle, vents de Nord-Est, pleine mer dans l’après-midi !
Les conditions idéales pour un bord en rase cailloux sur la côte sauvage du
Pouliguen.
Nous nous rendons donc Passage de Renadin sur la petite
plage près de l’école de Voile.
La mer est haute pas de portage, nous ressentons bien le
vent frais de nord, nous sommes à l’abri et sous le soleil dès le passage de la
pointe de Penchateau.
Première halte avant de commencer la séance, nous nous
organisons en binômes. Principe de sécurité ! Chacun, tout en surveillant
le groupe doit savoir à tout moment ou est son binôme.
Nous progressons en cherchant les passes et en
surveillant la houle, avec parfois quelques montées d’adrénaline. Nous noterons
deux dessalages, Franck après un échouage sur les rochers, et Thierry que nous
remorquons en zone de calme avant le réembarquement. Il est 16h quand nous
arrivons à la baie du Scall, c’est le moment de faire demi-tour. Le retour se
fait également en rase cailloux.
Nous retrouvons le vent de Nord dès le passage de la
pointe de Penchateau, et les quelques surfs se font un peu en aveugle avec les
embruns qui nous reviennent dans la figure.
Nous effectuons quelques esquimautages à l’arrivée avant
le débarquement.
Christian
lundi 12 octobre 2020
Baptême mouvementé à Pierre Percée
Samedi 10 octobre 2020 Baptême mouvementé à Pierre Percée PM 10h06 coeff 33, BM 17h35Vents NO 4B Martine, Cathy,Loïc, Christophe, Alain, Franck, Franck, Claude,Sylvain, Hervé, Yannick, Roger, Thierry, Christian.
L’après-midi avait plutôt bien commencé, je venais pour
ma deuxième sortie avec le club et j’avais un peu...l’insouciance du débutant
qui a fait sa première balade sur une mer d’huile, et qui pense naïvement que
ce sera toujours un peu comme ça…
L’arrivée au club est toujours un bon moment ; on
retrouve des têtes déjà connues, une bonne humeur générale et une activation
digne d’une fourmilière à laquelle on essaie de prendre part. On va faire du
kayak en mer alors forcément, on est contents. En plus aujourd’hui, on me
confie un kayak en fibre...merci Christian de me faire confiance alors que la
fois précédente tu m’as vu accoster en plantant mon kayak dans le sable…
En voiture pour Bonne Source, Sylvain m’apprend qu’il y a
trois îles dans la baie et qu’on va aller s’y balader. En plus le soleil
brille, c’est chouette...mais il y a un peu plus de vent que la dernière fois,
et la mer est un peu plus agitée...pour l’instant tout cela ne me parle pas
trop...pour l’instant…
Après avoir embarqué la fleur au fusil, non sans avoir
oublié de mettre ma jupe avant le gilet de sauvetage, et non sans accepter
gentiment la proposition de Cathy de me prêter son casque (avec la couleur
rose, il ne pourra rien m’arriver, on me verra même de l’autre côté de
l’estuaire ;) me voilà sur la mer.
Assez vite j’ai senti que j’étais moins détendu que la
dernière fois, je sentais la présence insistante des vagues, qu’il n’était pas
toujours possible de prendre de face (ah bon?). Yannick a dû sentir quelque
chose et me donne un conseil qui à mon avis me servira pour l’éternité : quoi
qu’il arrive, ne jamais arrêter de pagayer, la pagaie c’est notre équilibre, et
le coup de pagaie, plutôt au sommet de la vague...OK bien reçu.
Je me demandais depuis longtemps pourquoi ce rocher de
forme similaire à l’Ayers Rock en Australie s’appelait Pierre Percée. Je l’ai
compris en arrivant sur le côté, même si ce n’était pas une surprise, il
fallait tout de même être en mer pour le voir : la pierre a une forme de
tunnel, et à marée haute il serait possible de la traverser en kayak. Une autre
fois...car à peine commencé à en faire le tour je vois s’approcher une vague
qui me semble énorme mais qui n’est sans doute en fait qu’une grosse
vaguelette, un peu bruyante et blanchissante tout de même. Et là, le conseil de
Yannick me semble figé dans l’éternité ; je contemple la vague, sans doute
les yeux écarquillés, la bouche ouverte...et la pagaie hors de l’eau.
Résultat ; je fais un joli dessalage (le mot me semble mystérieux tant on
aurait plutôt envie de parler de salage, surtout au niveau de la bouche et du
nez…)
Heureusement, je sais quoi faire, et heureusement l’eau
n’est pas encore trop froide en ce mois d’octobre. Surtout ne pas lâcher le
kayak, surtout ne pas lâcher la pagaie, savoir quoi faire avec quelle main la
tête sous l’eau...Une fois dehors, je me sens tout bête, l’impression absurde
que je vais me faire engueuler...et puis en fait non, voilà déjà Hervé et
Martine qui savent exactement quoi faire et qui font tout ça le plus calmement
et le plus normalement du monde. Moi aussi je me souvenais de ces gestes, sur
cette mer d’huile, la fois passée. On avait déjà appris à faire cette manœuvre
par laquelle on passait tous une fois ou l’autre. Hervé me rassure : faire du
kayak de mer, c’est forcément passer par là. Le kayak vidé, on se met côte à
côte et je m’accroche à la ligne de vie du kayak d’Hervé (là le nom me parle un
peu plus). Je m’agrippe et hop, me voilà à nouveau dans mon kayak, baptisé à
Pierre Percée...l’endroit aurait pu être moins charmant et sauvage…On a beau se
dire que ce n’est pas grave, on a un peu le moral dans les chaussons néoprène
tout de même. Je croise Cathy qui me dit, le sourire jusqu’aux oreilles « Elle
est bonne, hein ? » et là je comprends qu’elle vient de dessaler elle
aussi...je me sens un peu moins seul !
C’est là que Christian me prend sous son aile ;
outre sa générosité naturelle, il a senti qu’il avait affaire à un nouveau qui
s’accrocherait peut-être...Alors nous voilà repartis, cette fois direction
l’île des Evens (mais si, le petit point jaune et noir là-bas…) Christian me
donne des conseils, dont certains que je n’avais encore jamais entendus comme
par exemple les impulsions avec les pieds simultanément avec les bras, se
pencher un peu sur une vague qui arrive au flanc (se pencher, sérieux?!), mais
aussi des conseils déjà entendus et pourtant battus en brèche par des mauvaises
habitudes : planter la pagaie loin devant, pousser la pagaie ne pas
seulement la tirer etc. Il m’apprend aussi le regard directionnel, c’est à dire
regarder un point à l’horizon comme un point de destination permettant de
garder un cap...mais un cap qui semble bien lointain tout de même...Bon, c’est
vrai qu’il avait raison de me donner ce conseil car on commençait un peu à
prendre la direction de la Vendée...Et là, nouvelle découverte : le point
semble ne jamais grossir, et pourtant à un moment il est énorme et on est tout
près...étranges découvertes sur la mer, ivre de froid humide et de coups de
pagaie…
Christian me propose d’accoster l’île des Evens, histoire
de reprendre un peu de souffle et aussi de vider mon kayak qui a sans doute
encore quelques restes de Pierre Percée, mais aussi de quelques vagues passées
sur la jupe (l’aurais-je mal fermée?) Les plus téméraires du groupe font le
tour de l’île en kayak...une autre fois pour moi. On ne tarde pas trop à
repartir pour ne pas se refroidir, cette fois les vagues sont dans le dos et on
peut s’exercer un peu au surf. Par moment je sens la vague qui m’emmène, en
pagayant on dirait qu’on va pouvoir la suivre jusqu’au point d’arrivée mais
non...quoique je vois Hervé au loin qui a pris une avance impressionnante. Et
c’est là que je commets ma deuxième erreur de la journée, ou plutôt la même que
tout à l’heure, je sors la pagaie de l’eau quelques minuscules secondes, le
temps de me faire pousser et rouler sur le côté par ces vaguelettes à surf qui
semblaient pourtant si sympathiques...Ça y est me voilà à nouveau la tête sous
l’eau, je mets un peu plus de temps à retirer la jupe (je ne pense même pas à
l’esquimautage) Christian me récupère et fait les bons gestes pour, rebelote,
vider mon kayak, se mettre à côté de moi pour que je puisse y grimper...me
voilà rincé pour la journée.
On arrive au point de départ et je ne sais trop quoi
penser : je suis vanné, je tremblote un peu ce qui fait que même parler
est difficile, mais le soleil brille et ses reflets sur la mer sont intenses à
presque 18h en ce mois d’octobre (fichtre, on aurait pagayé près de 4
heures?!). Tout le monde est là, on me propose des petits gâteaux et du café,
rien à dire, quand on y repense ce sont déjà des moments inoubliables.
Le soir dans mon lit, je serai surpris de sentir encore
ces petites vagues à surf qui tantôt vous tirent, tantôt vous poussent, et
j’aurai encore dans la tête les images des îles d’une mer sauvage, et le creux
des vagues tout autour de nous.
Christophe.
L’après-midi avait plutôt bien commencé, je venais pour
ma deuxième sortie avec le club et j’avais un peu...l’insouciance du débutant
qui a fait sa première balade sur une mer d’huile, et qui pense naïvement que
ce sera toujours un peu comme ça…
L’arrivée au club est toujours un bon moment ; on
retrouve des têtes déjà connues, une bonne humeur générale et une activation
digne d’une fourmilière à laquelle on essaie de prendre part. On va faire du
kayak en mer alors forcément, on est contents. En plus aujourd’hui, on me
confie un kayak en fibre...merci Christian de me faire confiance alors que la
fois précédente tu m’as vu accoster en plantant mon kayak dans le sable…
En voiture pour Bonne Source, Sylvain m’apprend qu’il y a
trois îles dans la baie et qu’on va aller s’y balader. En plus le soleil
brille, c’est chouette...mais il y a un peu plus de vent que la dernière fois,
et la mer est un peu plus agitée...pour l’instant tout cela ne me parle pas
trop...pour l’instant…
Après avoir embarqué la fleur au fusil, non sans avoir
oublié de mettre ma jupe avant le gilet de sauvetage, et non sans accepter
gentiment la proposition de Cathy de me prêter son casque (avec la couleur
rose, il ne pourra rien m’arriver, on me verra même de l’autre côté de
l’estuaire ;) me voilà sur la mer.
Assez vite j’ai senti que j’étais moins détendu que la
dernière fois, je sentais la présence insistante des vagues, qu’il n’était pas
toujours possible de prendre de face (ah bon?). Yannick a dû sentir quelque
chose et me donne un conseil qui à mon avis me servira pour l’éternité : quoi
qu’il arrive, ne jamais arrêter de pagayer, la pagaie c’est notre équilibre, et
le coup de pagaie, plutôt au sommet de la vague...OK bien reçu.
Je me demandais depuis longtemps pourquoi ce rocher de
forme similaire à l’Ayers Rock en Australie s’appelait Pierre Percée. Je l’ai
compris en arrivant sur le côté, même si ce n’était pas une surprise, il
fallait tout de même être en mer pour le voir : la pierre a une forme de
tunnel, et à marée haute il serait possible de la traverser en kayak. Une autre
fois...car à peine commencé à en faire le tour je vois s’approcher une vague
qui me semble énorme mais qui n’est sans doute en fait qu’une grosse
vaguelette, un peu bruyante et blanchissante tout de même. Et là, le conseil de
Yannick me semble figé dans l’éternité ; je contemple la vague, sans doute
les yeux écarquillés, la bouche ouverte...et la pagaie hors de l’eau.
Résultat ; je fais un joli dessalage (le mot me semble mystérieux tant on
aurait plutôt envie de parler de salage, surtout au niveau de la bouche et du
nez…)
Heureusement, je sais quoi faire, et heureusement l’eau
n’est pas encore trop froide en ce mois d’octobre. Surtout ne pas lâcher le
kayak, surtout ne pas lâcher la pagaie, savoir quoi faire avec quelle main la
tête sous l’eau...Une fois dehors, je me sens tout bête, l’impression absurde
que je vais me faire engueuler...et puis en fait non, voilà déjà Hervé et
Martine qui savent exactement quoi faire et qui font tout ça le plus calmement
et le plus normalement du monde. Moi aussi je me souvenais de ces gestes, sur
cette mer d’huile, la fois passée. On avait déjà appris à faire cette manœuvre
par laquelle on passait tous une fois ou l’autre. Hervé me rassure : faire du
kayak de mer, c’est forcément passer par là. Le kayak vidé, on se met côte à
côte et je m’accroche à la ligne de vie du kayak d’Hervé (là le nom me parle un
peu plus). Je m’agrippe et hop, me voilà à nouveau dans mon kayak, baptisé à
Pierre Percée...l’endroit aurait pu être moins charmant et sauvage…On a beau se
dire que ce n’est pas grave, on a un peu le moral dans les chaussons néoprène
tout de même. Je croise Cathy qui me dit, le sourire jusqu’aux oreilles « Elle
est bonne, hein ? » et là je comprends qu’elle vient de dessaler elle
aussi...je me sens un peu moins seul !
C’est là que Christian me prend sous son aile ;
outre sa générosité naturelle, il a senti qu’il avait affaire à un nouveau qui
s’accrocherait peut-être...Alors nous voilà repartis, cette fois direction
l’île des Evens (mais si, le petit point jaune et noir là-bas…) Christian me
donne des conseils, dont certains que je n’avais encore jamais entendus comme
par exemple les impulsions avec les pieds simultanément avec les bras, se
pencher un peu sur une vague qui arrive au flanc (se pencher, sérieux?!), mais
aussi des conseils déjà entendus et pourtant battus en brèche par des mauvaises
habitudes : planter la pagaie loin devant, pousser la pagaie ne pas
seulement la tirer etc. Il m’apprend aussi le regard directionnel, c’est à dire
regarder un point à l’horizon comme un point de destination permettant de
garder un cap...mais un cap qui semble bien lointain tout de même...Bon, c’est
vrai qu’il avait raison de me donner ce conseil car on commençait un peu à
prendre la direction de la Vendée...Et là, nouvelle découverte : le point
semble ne jamais grossir, et pourtant à un moment il est énorme et on est tout
près...étranges découvertes sur la mer, ivre de froid humide et de coups de
pagaie…
Christian me propose d’accoster l’île des Evens, histoire
de reprendre un peu de souffle et aussi de vider mon kayak qui a sans doute
encore quelques restes de Pierre Percée, mais aussi de quelques vagues passées
sur la jupe (l’aurais-je mal fermée?) Les plus téméraires du groupe font le
tour de l’île en kayak...une autre fois pour moi. On ne tarde pas trop à
repartir pour ne pas se refroidir, cette fois les vagues sont dans le dos et on
peut s’exercer un peu au surf. Par moment je sens la vague qui m’emmène, en
pagayant on dirait qu’on va pouvoir la suivre jusqu’au point d’arrivée mais
non...quoique je vois Hervé au loin qui a pris une avance impressionnante. Et
c’est là que je commets ma deuxième erreur de la journée, ou plutôt la même que
tout à l’heure, je sors la pagaie de l’eau quelques minuscules secondes, le
temps de me faire pousser et rouler sur le côté par ces vaguelettes à surf qui
semblaient pourtant si sympathiques...Ça y est me voilà à nouveau la tête sous
l’eau, je mets un peu plus de temps à retirer la jupe (je ne pense même pas à
l’esquimautage) Christian me récupère et fait les bons gestes pour, rebelote,
vider mon kayak, se mettre à côté de moi pour que je puisse y grimper...me
voilà rincé pour la journée.
On arrive au point de départ et je ne sais trop quoi
penser : je suis vanné, je tremblote un peu ce qui fait que même parler
est difficile, mais le soleil brille et ses reflets sur la mer sont intenses à
presque 18h en ce mois d’octobre (fichtre, on aurait pagayé près de 4
heures?!). Tout le monde est là, on me propose des petits gâteaux et du café,
rien à dire, quand on y repense ce sont déjà des moments inoubliables.
Le soir dans mon lit, je serai surpris de sentir encore
ces petites vagues à surf qui tantôt vous tirent, tantôt vous poussent, et
j’aurai encore dans la tête les images des îles d’une mer sauvage, et le creux
des vagues tout autour de nous.
samedi 3 octobre 2020
mardi 29 septembre 2020
Stage de kayak de mer dans le Trégor.
Samedi 26 et Dimanche 27 septembre 2020. Stage de kayak de mer dans le Trégor. Samedi 26 : PM 15h42 coeff 41, vents NNO 4B.Dimanche 27 : BM 10h55, PM 17h06, coeff 51, vents
NNO 5 à 6B Martine, Hervé, Sylvain, Franck, Patrice, Alain,
Christian.
La météo n’est pas au rendez-vous ! Nous avions
prévu quelques jours dans la région autour de l’archipel de Bréhat, pour finir
par un stage de formation avec Jean-Marc de Interaction Pleine Nature.
Après avoir surveillé de près les évolutions météo, nous
décidons de ne prendre la route que le vendredi après-midi, pour réaliser les
deux jours de stage du samedi au dimanche.
Près de 4h de route nous amènent au camping municipal de Beg ar vilin à Plougrescant.
Camping sympa ; Sanitaire neuf, Cale de mise à l’eau à partir
de laquelle on peut embarquer même à marée basse, et ce qui est très
intéressant pour un groupe de kayakistes , grand préau avec tables et bancs
pour les repas collectifs. On peut aussi y mettre ses tenues à sécher !
Nuit froide et ciel couvert au réveil. Le petit vent de
nord ne nous aide pas à nous réchauffer. Nous avons rendez-vous avec Jean-Marc
à 9h30 à St-Michel en Grève pour une journée surf Grève de st-Michel. Nous
embarquons à Beg Douar dans le petit port de Plestin. Stationnement facile et
accès à la mer sans portage à marée basse. Casques, tenues chaudes, et rien sur
le pont !
Après des conseils de jean-Marc, nous commençons notre
session sur la marée montante sur des vagues raisonnables entre la côte et Roche
Rouge. Prises de vagues en 3 coups de pagaies maxi, rester perpendiculaire à la
vague sans débordé arrière ….. et bien sûr éviter à tout prix les appuis en
suspension dramatiques pour les luxations d’épaule !
Nous avançons en fond de baie au fur et à mesure que la
marée avance. Bien que les vents soient toujours importants, le soleil
maintenant nous accompagne. Nous surfons jusqu’à environ 13h, heure à laquelle
nous débarquons pour un pique-nique à Beg Douar.
Nous repartons vers 14h, le niveau d’eau est plus haut,
direction le fond de baie. Les vagues sont plus hautes. Jean-Marc nous apprend
à naviguer en vague latérale en gitant de telle sorte que le vague passe sous
le bateau sans le faire dériver. Difficile de trouver la bonne gite quand nous
avons l’habitude de giter dans la vague ! Puis nous apprenons à franchir
la vague en biais en « enroulant » celle-ci. Nous terminons l’après midi en mettant en œuvre
tous ces conseils et nouvelles choses apprises sous l’œil vigilant de Jean-Marc
qui nous corrige les uns les autres. Il est 16h30 quand les premiers décident
de retourner au lieu de débarquement suivis par les seconds une demi-heure plus
tard.
Belle journée de surf sous le soleil malgré un joli vent
bien établi.
Deuxième soirée sous le préau, nous cuisinons ce qui n’a
pas été consommé la veille pour le repas du soir.
La nuit a été plus sereine, moins froide, et la fatigue
de la veille nous a aidé à trouver plus rapidement le sommeil.
Jean-Marc nous rejoint à 9h pour un embarquement depuis
le camping. Activité différente de la veille, cette fois nous armons nos
bateaux avec pagaies de secours, pompes, bouts de remorquage, VHF …. Nous quittons
le Jaudy direction Pointe du Château. Le vent de nord 5b, avec rafales ralenti
notre progression. Nous atteignons toutefois les rochers «la grande pierre »
et « Roc’h Nord Laerez » pour une session Rock Hopping, Passe à
Cailloux. Nous sommes dans une mer de vent achée avec de belles levées de
déferlantes. Quelques montées d’adrénaline, mais pas de bains, au bout d’un
certain temps, Jean-Marc, au regard des conditions décide de stopper la séance.
Avant de retrouver le calme du Jaudy, il faut affronter quelques beaux surfs
arrière !
Session coute mais intense !
Nous retournons au camping pour le pique-nique et
démonter la matériel.
Christian.
La météo n’est pas au rendez-vous ! Nous avions
prévu quelques jours dans la région autour de l’archipel de Bréhat, pour finir
par un stage de formation avec Jean-Marc de Interaction Pleine Nature.
Après avoir surveillé de près les évolutions météo, nous
décidons de ne prendre la route que le vendredi après-midi, pour réaliser les
deux jours de stage du samedi au dimanche.
Près de 4h de route nous amènent au camping municipal de Beg ar vilin à Plougrescant.
Camping sympa ; Sanitaire neuf, Cale de mise à l’eau à partir
de laquelle on peut embarquer même à marée basse, et ce qui est très
intéressant pour un groupe de kayakistes , grand préau avec tables et bancs
pour les repas collectifs. On peut aussi y mettre ses tenues à sécher !
Nuit froide et ciel couvert au réveil. Le petit vent de
nord ne nous aide pas à nous réchauffer. Nous avons rendez-vous avec Jean-Marc
à 9h30 à St-Michel en Grève pour une journée surf Grève de st-Michel. Nous
embarquons à Beg Douar dans le petit port de Plestin. Stationnement facile et
accès à la mer sans portage à marée basse. Casques, tenues chaudes, et rien sur
le pont !
Après des conseils de jean-Marc, nous commençons notre
session sur la marée montante sur des vagues raisonnables entre la côte et Roche
Rouge. Prises de vagues en 3 coups de pagaies maxi, rester perpendiculaire à la
vague sans débordé arrière ….. et bien sûr éviter à tout prix les appuis en
suspension dramatiques pour les luxations d’épaule !
Nous avançons en fond de baie au fur et à mesure que la
marée avance. Bien que les vents soient toujours importants, le soleil
maintenant nous accompagne. Nous surfons jusqu’à environ 13h, heure à laquelle
nous débarquons pour un pique-nique à Beg Douar.
Nous repartons vers 14h, le niveau d’eau est plus haut,
direction le fond de baie. Les vagues sont plus hautes. Jean-Marc nous apprend
à naviguer en vague latérale en gitant de telle sorte que le vague passe sous
le bateau sans le faire dériver. Difficile de trouver la bonne gite quand nous
avons l’habitude de giter dans la vague ! Puis nous apprenons à franchir
la vague en biais en « enroulant » celle-ci. Nous terminons l’après midi en mettant en œuvre
tous ces conseils et nouvelles choses apprises sous l’œil vigilant de Jean-Marc
qui nous corrige les uns les autres. Il est 16h30 quand les premiers décident
de retourner au lieu de débarquement suivis par les seconds une demi-heure plus
tard.
Belle journée de surf sous le soleil malgré un joli vent
bien établi.
Deuxième soirée sous le préau, nous cuisinons ce qui n’a
pas été consommé la veille pour le repas du soir.
La nuit a été plus sereine, moins froide, et la fatigue
de la veille nous a aidé à trouver plus rapidement le sommeil.
Jean-Marc nous rejoint à 9h pour un embarquement depuis
le camping. Activité différente de la veille, cette fois nous armons nos
bateaux avec pagaies de secours, pompes, bouts de remorquage, VHF …. Nous quittons
le Jaudy direction Pointe du Château. Le vent de nord 5b, avec rafales ralenti
notre progression. Nous atteignons toutefois les rochers «la grande pierre »
et « Roc’h Nord Laerez » pour une session Rock Hopping, Passe à
Cailloux. Nous sommes dans une mer de vent achée avec de belles levées de
déferlantes. Quelques montées d’adrénaline, mais pas de bains, au bout d’un
certain temps, Jean-Marc, au regard des conditions décide de stopper la séance.
Avant de retrouver le calme du Jaudy, il faut affronter quelques beaux surfs
arrière !
Session coute mais intense !
Nous retournons au camping pour le pique-nique et
démonter la matériel.
dimanche 20 septembre 2020
113 dans l’estuaire
Samedi 19 septembre 2020 113 dans l’estuaire BM 13h06, PM 18h47 coeff 113Vents ENE 3B Hervé, Yannick, Franck, Patrice, Olivier, Antoine,
Sylvain,Jean-Pierre, Christian, Christian.
Peu de vent, peu de houle, mais un gros coefficient et
donc basse mer au moment de la mise à l’eau.
Nous choisissons d’embarquer à la base nautique de Villès-Martin,
c’est là que nous aurons le moins de portage pour atteindre la mer. Nous y
croisons les jeunes du club venus s’entrainer en vue du prochain « challenge
jeunes » qui se déroulera en mer à Pornichet.
C’est sur une mer belle que nous nous dirigeons vers la
pointe de l’Eve. Nous naviguons en ras de côte pour subir le moins
possible le courant de la marée montante. Pratiquement pas de vagues au passage
de la pointe de l’Eve, mais un courant contraire très sensible pour le
franchissement, puis nous rentrons dans la baie de la Courance afin d’éviter la
zone de travail des câbliers œuvrant pour le futur parc éolien.
Nous poursuivons vers la pointe de Chémoulin. Une longue
houle crée quelques déferlantes sur les rochers entre Saint-Marc et la pointe
de Chémoulin. Les surfeurs s’y sont
donné rendez-vous. Le niveau d’eau est encore assez bas pour franchir le
passage entre les rochers et la côte à Chémoulin, la houle y crée quelques
vagues et turbulences. Les plus hardis y passent tandis-que les moins aguerris
contournent le rocher du large. Puis ce sont les habituelles vagues de ressac
pour atteindre la plage des Jaunais. Nous Poursuivons jusqu’à la pointe de La
Lande.
Nous mettons cap sur le petit charpentier tout en nous
laissant porter par le courant de la montante. Nous nous rapprochons ainsi du
chenal afin de profiter au maximum du courant de la marée pour le retour à
Villès-Martin. Les vents sont très faibles, et la mer est toujours aussi calme
avec un léger portant.
Nous avons parcouru 8,5 nautiques.
Christian.
Peu de vent, peu de houle, mais un gros coefficient et
donc basse mer au moment de la mise à l’eau.
Nous choisissons d’embarquer à la base nautique de Villès-Martin,
c’est là que nous aurons le moins de portage pour atteindre la mer. Nous y
croisons les jeunes du club venus s’entrainer en vue du prochain « challenge
jeunes » qui se déroulera en mer à Pornichet.
C’est sur une mer belle que nous nous dirigeons vers la
pointe de l’Eve. Nous naviguons en ras de côte pour subir le moins
possible le courant de la marée montante. Pratiquement pas de vagues au passage
de la pointe de l’Eve, mais un courant contraire très sensible pour le
franchissement, puis nous rentrons dans la baie de la Courance afin d’éviter la
zone de travail des câbliers œuvrant pour le futur parc éolien.
Nous poursuivons vers la pointe de Chémoulin. Une longue
houle crée quelques déferlantes sur les rochers entre Saint-Marc et la pointe
de Chémoulin. Les surfeurs s’y sont
donné rendez-vous. Le niveau d’eau est encore assez bas pour franchir le
passage entre les rochers et la côte à Chémoulin, la houle y crée quelques
vagues et turbulences. Les plus hardis y passent tandis-que les moins aguerris
contournent le rocher du large. Puis ce sont les habituelles vagues de ressac
pour atteindre la plage des Jaunais. Nous Poursuivons jusqu’à la pointe de La
Lande.
Nous mettons cap sur le petit charpentier tout en nous
laissant porter par le courant de la montante. Nous nous rapprochons ainsi du
chenal afin de profiter au maximum du courant de la marée pour le retour à
Villès-Martin. Les vents sont très faibles, et la mer est toujours aussi calme
avec un léger portant.
Nous avons parcouru 8,5 nautiques.
jeudi 17 septembre 2020
les bonnes conditions !
Mercredi 16 septembre 2020 PM 16h55 coeff 91Vents NE 2B
Hervé, Yannick, Alain, Patrice, Christian.
dimanche 13 septembre 2020
Sortie découverte
Samedi 12 septembre 2020
Sortie découverte
PM 13h55 coeff 31
Vents Nord 2 B
Martine, Cathy, Hervé, Franck, Yannick, Sylvain, Antoine,
Christian.
Christophe, Christian, Stéphane.
Aujourd’hui, nous accueillons de nouveaux kayakistes pour
une sortie découverte. C’est pétole !
Pour faire simple, nous partons de la base nautique de
Villès Martin.
Nous transmettons dans un premier temps les premiers
éléments de la pratique du kayak en mer,
Tenue de la pagaie, réglage cale-pieds, embarquement …
Puis, sur l’eau, après observations, des informations viennent
compléter ces rudiments.
Nous filons sur une mer calme vers la pointe de l’Aiguillon.
Nous nous arrêtons dans la baie de la plage de Trébézy pour quelques execices,
certains feront des esquimautages, tandis que d’autres procéderons à des
dessalages et récupérations en T
en échangeant tour à tour le rôle de sauveteur et de naufragé.
Nous filons ensuite sur la pointe de Chémoulin, la mer
toujours aussi calme nous permet de passer au plus près, voire y faire du rase
cailloux. Puis c’est cap sur St-Marc et, la pointe de Chémoulin.
Nous franchissons la passe en surveillant les roches émergentes,
puis nous faisons demi-tour face aux Genets. Le retour sera toujours aussi
calme, et nous réitérons quelques exercices d’esquimautage dessalage avant le
débarquement.
Nous avons parcouru 7,3 nautiques soit 13,5 km
vendredi 11 septembre 2020
Une belle journée de septembre
Mercredi 9 septembre 2020
Vents NNO 2B
dimanche 6 septembre 2020
Techniques de pagaies
Aujourd’hui, nous recevons Jean-Marc de interactions pleine nature pour une formation « techniques de pagaie ». Au vu des conditions météo, nous partons pour un embarquement à Port Lin.
La matinée est consacrée au placement de la pagaie en fonction du résultat souhaité. Propulsion, appel avant ou arrière, écart avant ou arrière. Suite aux explications, nous effectuons les exercices par binômes dans un premier temps, puis en effectuent des rotations sur place. On notera un bain discret de Sylvain vite corrigé par un esquimautage réussi. Nous effectuons ensuite des rotations autour des rochers émergés.
Nous débarquons sur la plage de la baie des sables menus. Chacun dessine un kayak dans le sable. Puis nous nous asseyons sur ces dessins et effectuons les mouvements de pagaie dans le sable. Les traces ainsi obtenues nous permettent de visualiser l’action de la pagaie, souvent une courbe au lieu d’une ligne droite. Nous repartons en suivant la côte pour un peu de pratique. Nous abordons les virages en kayak et remémorons les circulaires, le triangle, sans oublier de rappeler ou se trouve l’axe de rotation du bateau. Nous abordons les gites et les appuis. Il y aura un dessalage d’Evelyne dans une passe à cailloux se terminant par un seuil. Ce sera l’occasion du premier exercice de récupération.
Nous sommes près de la marée basse quand nous débarquons à Port aux Rocs pour le pique-nique.
La marée montante atteint nos bateaux, il est temps de repartir.
Jean-Marc nous dessine l’écoulement de l’eau sur la pagaie pour nous expliquer l’incidence, faces en dépression et face en pression. Nous effectuons les exercices sur l’eau en cherchant dans un premier temps l’incidence neutre sur la pale, puis en utilisant la pagaie en gouvernail arrière ou en appel sur l’avant. Nous reprenons la navigation en rase cailloux afin de mettre en pratique l’ensemble des techniques apprises. Ce sera l’occasion d’un dessalage pour Cathy. La récupération est plus technique avec un premier sauveteur qui extrait le bateau et la nageuse à l’aide d’un bout court, tandis qu’un deuxième sauveteur aide à sortir de la zone et évite d’y retourner pendant le réembarquement, en crochant le bateau du sauveteur par un un bout long. Quand à Olivier, il se fait déposer sur les rochers par une vague plus haute que les autres. Bien que la marée soit montante, il reste échoué, aucune autre vague ne vient le chercher. Il repousse son bateau en pleine eau et le regagne à la nage avant de réembarquer.
Nous poursuivons nos exercices en naviguant jusqu’à la plage Valentin où nous trouvons quelques surfs. Il est maintenant raisonnable de retrouver Port Lin pour le débarquement. C’est au moment du débarquement que Antoine choisi de se retourner !
Une fois changés et les bateaux capelés sur la remorque, nous partageons le traditionnel goûté. Nous y échangeons nos sensations d’une belle journée et exprimons l’envie de remettre en pratique par des exercices lors de nos prochaines sorties, l’ensemble de ces techniques apprises.
Christian.
dimanche 30 août 2020
Côte sauvage au Croisic
Samedi 29 août 2020
Côte sauvage au Croisic
PM 15h36 coeff 54
Vents Nord 4 B
Martine, Franck, Franck, Olivier, Claude, Sylvain, Thierry, Christian.
Une fois sur l’eau, Franck propose de se confronter au vent en mettant cap plein Nord vers Le Croisic. Puis nous revenons au portant au surf vers la zone abritée. Exercice un peu technique pour Claude et Olivier.
Nous sommes maintenant à l’abri du vent, nous naviguons en rase cailloux en cherchant quelques passes à franchir en s’aidant de la houle. Nous naviguons ainsi jusqu’à Port-Lin où l’heure nous dit de faire demi-tour. Le retour se fera également en rase cailloux. Un grain nous arrive juste avant l’arrivée à la pointe du Croisic, puis ce sont les derniers coups de pagaie face au vent avant de se retrouver dans le passe au calme. Ce sera quelques exercices d’esquimautage pour certains avant le débarquement.
Pendant l’échange des gâteaux et diverses friandises, nous sommes étonnés de la très bonne visibilité, et après consultation de la carte, c’est bien Hoedic, Houat et Belle-Ile que nous apercevons à l’horizon.
Nous avons parcouru 5,6 nautiques
jeudi 27 août 2020
Vers le Dragon
Mercredi 26 Août 2020
Vents Ouest 2 à 3 B
Petit coefficient, mer descendante, un petit vent d’ouest. Nous partons pour la base nautique de Villès-Martin. Le plan d’eau semble plus venté qu’annoncé. Nous nous mettons à l’eau pour une traversée. Nous nous dirigeons vers la cardinale sud Villès-Martin. Un cargo apparait au large pour entrer vers le port. Par sécurité, nous différons la traversée. Vent conte courant nous profitons des surfs direction St-Nazaire en attendant le passage de ce porte container. Puis c’est un plus petit bateau, mais beaucoup plus rapide qui apparait à son tour dans le Chenal. Ce trafic passé, nous traversons le chenal entre la cardinale sud Grande rade et la latérale tribord N°15. L’eau est un peu plus agitée après ce passage de bateaux. Une fois le chenal traversé nous mettons cap sur St-Brevin. Le vent d’ouest et les surfs compensent le courant de la marée descendante. Nous nous approchons des plages pour moins subir ce courant ; puis nous filons vers Mindin et les piles du pont de st-Nazaire. Nous sommes un peu secoués au passage dans le mouillage de Mindin.
Arrivés sous le pont, nous trouvons peu de courant, et nous progressons de piles en piles jusqu'à la latérale tribord 21 où nous trouvons à nouveau un passage agité. Après avoir observé le trafic, nous retraversons le chenal en visant la latérale bâbord 24. Nous entamons maintenant le retour. Des canalisations flottantes se trouvent le long des chantiers navals nous obligeant à naviguer plus au large. Le vent et le courant nous portent sur ces canalisations. Cathy cravate et dessale. Claude et Alexis se mettent en stand by à l’abri tandis que Martine et Christian font demi-tour et moulinent face au courant pour rejoindre Cathy. Le courant nous aide durant la récupération en nous sortant de la zone turbulente. Les vents ont molli, et c’est le courant de la descendante qui nous est favorable pour le retour. Le niveau d’eau est bien descendu, et nous passons très large au niveau du phare de Villès. Nous débarquons pratiquement à marée basse nous devons être vigilants face à la barre de rochers plus ou moins découverts.
Belle sortie d’estuaire avec différentes allures.
Nous avons parcouru 8 nautiques.
Christian.
mardi 25 août 2020
Saint-Nazaire Pornic.
Dimanche 23 août 2020
PM 8h09 coeff 96, BM 14h56, PM 20h25 coeff 91
Vents 3 à 4 B ouest
Jean-Luc nous soumet l’idée de faire un bord de Saint-Nazaire à Pornic, nous cherchons les jours favorables par rapport aux marées. Il nous faut une basse mer mi journée afin de profiter des courants de marée. Le week-end du 22 et 23 août est retenu. Nous surveillons la météo dans la semaine, elle est très défavorable le samedi 22 avec du vent force 5, rafales à 6. Le dimanche c’est soleil avec un 3B le matin montant à 4 en fin d’après-midi. Ce sera donc le Dimanche.
Cathy et Christian positionnent, le samedi, le minibus à Pornic pour assurer le Retour, Jean-Luc se faisant accompagné à Villès, son chauffeur convoie la remorque à Pornic.
C’est un RDV au Club à 9h pour un premier coup de pagaie à 10 au départ de la base nautique de Villès-Martin. Nous apercevons, au large, le dernier paquebot fabriqué à Saint-Nazaire qui vient de quitter le Port. Nous traversons le chenal en bac face au courant de la descendante, puis nous mettons cap sur le château d’eau de St-Michel tout en nous laissant porter par le courant de la marée descendante. Nous arrivons ainsi sans difficultés près du port de la Gravette, et en surveillant les déferlantes, courantes en cet endroit, même par mer calme, nous arrivons au Port de la pointe de St-Gildas, nous avons mis environ deux heures pour parcourir les 8 nautiques.
Nous débarquons pour le pique-nique. Pour patienter en attendant 14h que le courant devienne favorable pour le prochain bord, nous allons déguster une glace offerte par Jean-Luc.
Nous réembarquons donc vers 14h, la mer est au plus bas dans le port. Nous devons donc contourner le plateau rocheux à la Pointe de St-Gildas. Quelques déferlantes se forment très au large. Jean-Luc y effectuera un demi-esquimautage. Ouf ! Nous n’aurons pas besoin d’effectuer une récupération près des rochers.
Le Bord vers Pornic se fait au portant : Courant favorable, vent favorable, et même une belle houle portante. Nous devons toutefois rester vigilants face a quelques déferlantes se formant principalement aux passages des pointes. A mi parcours, nous croisons le Club de Pornichet venu également faire une sortie à la journée sur cette zone. Nous avons mis deux heures pour atteindre l’entrée du Port de Pornic. Le niveau de la mer est encore très bas quand nous y arrivons nous pouvons cependant naviguer, dans peu d’eau, jusqu’au fond du port ou nous croisons un kayakiste effectuant des essais de traction par voile. Puis nous faisons demi-tour pour débarquer sur la petite plage de Gourmalon ou nous attendent la remorque et le minibus.
Merci Jean-Luc pour cette belle sortie à la journée, sur un bord encore jamais réalisé dans son intégralité.
Nous avons parcouru au total 16,7 nautiques.
Christian.
lundi 24 août 2020
Force 5
Samedi 22 août 2020
PM 19h51 coef 100
Vent ouest 5 à 6 B
Frank , Alain , Claude , Patrice
Faut-il sortir ? Où aller ? La basse mer est à 14H10 avec un coef 100, 3 plages de St Nazaire fermées pour cause Escherichia Coli. Nous optons pour Le Pouliguen pour être à l’abri du vent tout en sachant que le portage sera long. Nous prenons les polyets
Arrivés sur place, très peu de stationnement car tout est occupé par les pêcheurs à pied. Nous stationnons dans le chemin.
Sur l’eau nous nous dirigeons légèrement à l’est de la pointe de Penchateau pour une séance de surf avec un vent et une houle finalement acceptables. Quelques surfs arrière puis, peu satisfaits des vagues, nous allons vers les impairs. Frank nous fait un beau rétablissement. Nous continuons vers la bouée verte et l’entrée du port du Pouliguen où nous trouvons de petites vagues sympas pour surfer en toute tranquillité.
Retour à la base de voile vers 16H pour les exercices d’esquimautage. Patrice est en réussite alors que Franck et Alain ont le geste parfait comme d'hab! Claude progresse mais il reste du boulot !!!!!!
Finalement une petite sortie cool et agréable avec une mer juste comme il faut en cet endroit abrité pour s'amuser sans risques.
Patrice, Claude.
dimanche 16 août 2020
Une grande Boucle
Samedi 15 août 2020
Vents de 1 à 2 B
Pleine mer, mais petit coefficient, belle météo estivale, et l’envie de Franck de faire de la distance ; Nous nous décidons rapidement d’embarquer à Bonne Source pour un tour des îles !
A l’arrivée, le stationnement parait délicat, et finalement nous pouvons mettre nos voitures et la remorque Passage st-Gabriel.
Mer calme, bonne visibilité, nous mettons cap sur Pierre Percée avec un rytme bien soutenu, il faut dire que Hervé a fait le choix d’un surf ski. A l’arrivée et aux vues des conditions, plusieurs d’entre nous en profitent pour passer dans les trous de Pierre Percée, facile tout en restant vigilant.
Nous mettons ensuite Cap sur Les Evens, toujours sur un bon rythme. A l’arrivée, débarquement, et nous en profitons pour essayer le surf ski. Ce qui nous donne l’occasion de voir un kayakiste en surf ski, casqué et équipé d’une pagaie traditionelle.
Nous faisons le tour des Evens dans le sens horaire, pas une vague sur les hauts fonds ! Nous mettons ensuite cap sur le port de Pornichet et nous choisissons de passer à travers le port d’échouage. C’est toujours aussi calme sur les roches à l’arrivée à Bonne source.
Avant le débarquement quelques exercices d’esquimautage.
nous avons parcouru 7 nautiques.
Christian.
lundi 10 août 2020
Une traversée de l’estuaire.
Samedi 8 août 2020
Vents NO 3B
Petit coefficient, basse mer, époque estivale, sans surprises nous choisissons un départ de Villès-Martin pour cette fois une traversée de l’estuaire. Ce sera pour Franck l’occasion de tester son nouveau bateau, et une sortie découverte pour Jacques.
Nous embarquons sur une mer belle à basse mer, puis nous nous regroupons à la cardinale sud face au phare de Villès pour effectuer la traversée du chenal vers les Morées. Nous mettons cap sur le Pointeau, nous sommes toujours sur basse mer, les bancs de sable sont découverts, nous poursuivons vers le sud, mais aucune vague à surfer ! Nous nous dirigeons vers la zone de Bouchots pour anticiper le courant de la marée montante. C’est un premier dessalage de Jacques. Nous attendons avant de reprendre la route. Yannick décide de prendre Jacques en remorque.
Le groupe s’étire au point de se perdre de vue, un appel à la VHF pour s’informer nous apprend que Jacques a pris un deuxième bain. Nous attendons un moment puis nous nous regroupons pour finir la traversée en sécurité. Jean-Luc remorquant Yannick remorquant toujours Jacques. Le cargo Airbus-on-line quitte le port de Saint-Nazaire, nous allons donc mettre un cap plus à l’ouest en attendant que le chenal soir dégagé avant de le traversé. Nous terminons cette traversée en bac, les courants de marée étant plus importants sur le chenal et du côté de st-Nazaire.
Nous profitons de la bonne température de l’eau pour quelques esquimautages avant le débarquement.
Nous avons parcouru 7,5 nautiques, soit 14 km.
Christian.
jeudi 6 août 2020
Villès au mois d'août
Mercredi 5 août 2020
Vents SO 3B
Nous choisissons un départ de la base nautique de Villès-Martin, c’est le plus simple pour une mise à l’eau à marée basse. Comme d’habitude cap à l’ouest en longeant la côte pour éviter le courant de la montante, la mer est belle, nous pouvons continuer à naviguer en bord de côte entre St-Marc et la pointe de Chémoulin, zone souvent mouvementée. Nous franchissons la pointe de Chémoulin pour faire demi-tour à la pointe de La Lande. Nous sommes portés par le courant de la marée montante. Nous faisons une halte à Trébézy pour une séance esquimau. Nous y croisons jean-Pierre en surf-ski. Puis c’est le retour à Villès-Martin. Franck passant à vélo au retour de son travail fait une halte pour nous saluer.
Nous avons parcouru 8 nautiques
Christian.
dimanche 2 août 2020
ça bouge au Pouliguen
Claude, Thierry, Roger, Jean-Luc et Hervé.