samedi 28 juillet 2012

Villès Mindin


ONO 4b
PM 13h30 coef 53

Marie-Laure, Cathy, Alain, Franck, Philippe,
Philippe, Thierry, Roger, Gérard, Hervé, Christian

C’est encore l’été, et le beau temps est là, nous renonçons à des destinations chargées de touristes pour embarquer encore une fois à Villès-Martin.
Petit contre temps au démarrage, jj a oublié sa jupe dans la voiture de Franck !
Nous sommes sur le début de la descendante, et la mer est plate. Nous traversons le chenal entre la cardinale sud du phare de Villès et les Maurées. Nous avons une bonne vision du trafic maritime et nous savons exactement quand nous pénétrons et nous quittons le chenal.
Regroupement aux Morées, et cap vers la plage de St-Brevin au nord du pointeau. Le vent est monté, et la mer se creuse sur les hauts fonds de bancs de sable. Ce qui nous donne un bord avec des surfs faciles, très longs, et très rapides.
Comme on peut l’imaginer le groupe s’étale sur le plan d’eau en fonction du choix des trajectoires pour réaliser le meilleur surf, et bien sûr tenter sa chance d’avoir la plus belle vague.
Nous nous regroupons pour admirer la sculpture du dragon de Huang Yong Ping sur la plage de Mindin
Nous continuons vers le pont de Saint-Nazaire contre le courant de la marée descendante mais sur des beaux surfs sur le hauts fonds sableux. Il faut faire un choix, soit on avance grâce aux surfs soit on cherche les contres courants au ras de la plage.
Nous suivons le pont de St-Nazaire en effectuant des bacs de pile en pile pour nous regrouper sous la dernière pile avant le tablier suspendu, c’est là que nous retrouvons le chenal.
Pas de trafic de cargos en vue, nous effectuons la traversée vers les installations portuaires. Le vent est monté, et il compense le courant. Nous gagnons le plus rapidement possible le bord pour en être à l’abri. C’est dans ce moment que le groupe s’éclate, chacun choisissant sa propre option pour gérer le compromis vent/courant. Plus au bord, nous sommes à l’abri du vent mais nous profitons moins du courant, cette option permet cependant de récupérer des efforts faits sous le pont. Les premiers attendent les derniers au vieux môle en jouant à passer dans les tunnels sous cette jetée.
Puis c’est le retour vers Villès, portés pas le courant, mais biens freinés par le vent. A l’arrivée, nous observons que les vents ont forcis depuis notre départ, et la mer a grossi.
Christian

Quelques liens pour la sculpture sur la plage de Mindin




mardi 24 juillet 2012

Le Golfe du Morbihan


Lundi 23 juillet 2012
Le Golfe du Morbihan

PM Port-Navalo 8h25  coef 86
Philippe, Thierry, Roger, Michel, Christian



La météo est au mieux, et les conditions de marée sont bonnes pour aller surfer la vague statique de Berder à la descendante dans le Golfe du Morbihan.
Nous partons de bonne heure de saint-Nazaire pour être à 9h30 sur l’eau à la cale du Bilouri dans l’anse de Kerners.
Le pique-nique est embarqué, nous mettons les casques et un Kway léger, nous faisons route vers l’Ile de Berder par le Nord, c’est pratiquement l’étale. Nous arrivons au gué de Berder vers 10h, la renverse a eu lieu, mais le plan d’eau est plat. Il faut attendre 10h30 passé pour voir se former le premier bourrelet.
Nous allons rester jusqu’à 11h30 à jouer sur cette vague statique, relativement facile avec ce coefficient de marée. Philippe va toutefois se faire surprendre percuté par un autre kayak, un esquimautage le tire d’affaire. Christian y laisse un cale-pied, Il continue cependant à surfer.
Nous descendons ensuite Berder par l’est pour prendre le courant de la Jument. Avant la reprise courant, la consigne est donnée de faire un Stop pour regroupement sur la jetée au Sud de Gravinis. Nous nous retrouvons parmi un groupe de voiliers, l’échange est convivial, nous naviguons sur la même veine d’eau, chacun comprenant les difficultés qui se présentent en fonction des embarcations. Nous repartons ensuite dans le jus très impressionnant pour faire un stop au Grand Mouton. Le Stop est plus ou moins réussi, mais nous arrivons à nous regrouper derrière les Moutons. Il faut maintenant remonter les courants de la descendante. Nous envisageons dans un premier temps de faire un bac vers l’Ile Longue, nous nous replions toujours pour un bac mais vers la pointe du Monteno. Au moment du départ, Roger se fait surprendre par une marmite, et tandis que le groupe se lance vers Le Monteno, il se retrouve sur une direction opposé. Christian reste en attente, tant que faire se peut, puis Roger ayant réussi à retrouver le bon cap, ils se lancent vers la direction choisie. Il faut batailler ferme pour ne pas dépasser Le Faucheur. La troupe est enfin réunie à La pointe du Monteno. Nous atteignons, toujours en bac dans le courant de la Jument, la Pointe sud de L’Ile Longue. Nous contournons l’île par l’ouest contre un courant cette fois très supportable pour un arrêt pique-nique côté Est. Nous y trouvons de l’ombre bien venue par cette journée très ensoleillée. Christian veut tenter un esquimautage, malgré ses cale-pieds inexistants, pour se rafraîchir. Tentative réussie !
Le pique-Nique terminé, nous redescendons vers le courant de la Jument pour tenter la traversée. Mais l’aspect de la surface de l’eau et du gros clapot qui s’y présente nous fait renoncer. Nous ne voulons pas perdre le terrain gagné. Nous contournons donc Gavrinis par le nord pour nous retrouver enfin au sud de Berder. La traversée en bac de la jument semble plus accessible. Nous entamons donc, ce bac physique pour longer ensuite l’Ile de la Jument par l’est. Un peu de calme puis 2 derniers bacs à contre nous amènent enfin à la pointe de Kerners. Un dernier petit bord facile cette fois et nous voici à la cale du Bilouri. Christian réussi à nouveau un esquimautage sans cale-pieds.
Il est 16h, nous avons parcouru environ 10 nautiques.
Christian




dimanche 22 juillet 2012

Villès St-Brevin

Samedi 21 juillet 2012
Roger, Michel, Alain, Franck, Hervé, 
Philippe, Christian, Benoit-Xavier, David, 
Marie-Laure, Geneviève, Martine
Vents faibles 2b NO, PM 18h50 coef 88

Nous sommes mi juillet et l’été est enfin arrivé. Nous nous attendons à beaucoup de monde sur les plages et sur l’eau. Nous choisissons donc encore une fois de Partir de la base nautique de Villès-Martin pour être tranquilles ; parking, embarquement, et même rinçage des bateaux et du matériel.
Nous embarquons pour une traversée de l’estuaire vers St-Brevin.
C’est une première pour David, les conseils sont donnés. C’est aussi une première sortie en mer pour Geneviève qui a plus l’habitude de tremper sa pagaie en eaux vives.
Après un premier bain, récupéré par Franck, David est prêt pour l’aventure. Nous traversons le chenal en groupe après avoir observé qu’il n’y a pas de trafic, puis c’est un bord calme jusqu’à St-Brevin où nous trouvons quelques vagues sur les hauts fonds sableux.
David passe bien les premières vagues, mais dessale à nouveau sur une latérale plus haute que les autres. Michel a toujours avec lui quelques rations de récupération, elles sont bien venues pour redonner de l’énergie à David. Il est temps de rentrer. Nous pagayons face à la vague et au vent. Nous savons aussi qu’il va falloir faire la traversée de plus de 2 nautiques en bac face au courant de marée qui rentre en loire. Cà n’est pas la sortie préférée de Martine qui trouve ce bord long avec toujours en visuel les immeubles sur la côte que l’on semble ne jamais pouvoir atteindre.
David sera pris en remorque par Christian et Michel une bonne partie du retour. Ceci nous permet d’effectuer les exercices de sécurité. Un Cargo apparaît au large, Philippe est en Norté, et rester en attente n’est pas facile avec ce bateau, il aura largement le temps de passer avant l’arrivée du bateau, l’ensemble de l’équipe, un peu plus en amont exécute également le bac au même moment. Hervé et Alain, restent en accompagnement de David, Michel et Christian qui choisissent d’attendre en remontant le courant la passage de ce cargo. Nous avons un dessalage en remorque à la fin de la traversée, ce qui provoque un arrêt brutal, les bouts sont vite largués pour effectuer la récupération, puis nous reprenons rapidement notre route pour tenter de rattraper la dérive que nous avons subit.
Nous arrivons finalement à Villès Martin, le courant se fait sentir jusqu’au bord de plage.
Encore quelques esquimautages malgré la fatigue pour maintenir le niveau, pendant que Martine essaye avec succès le Norté.
Christian

mardi 17 juillet 2012

Douarnenez Brest


Douranenez le 14 et 15 juillet 2012
Hervé, Philippe, Christian


On avait prévu l’Ile de Sein, mais la météo n’est pas bonne, pas bonne !

Nous partons pour Landudec, où une maison nous attend, pas de bivouac.
Route le vendredi soir après la journée de travail.

Samedi 14 juillet

Pour « assurer » et voir « l’état des lieux » nous décidons de faire un bord dans la Rade de Brest, c’est le début de la manifestation des vieux gréements « Tonerre de Brest »
Le ciel est gris au levé, il tombe même un petit crachin, mais le ciel se dégage quand nous prenons la route. Direction Crozon en faisant le tour de la baie de Douarnenez ; nous pouvons constater de l’écume blanche au dessus de vagues.
Nous embarquons à Roscanvel, à la cale de Quélern, à l’est de la presqu’île de Quélern. L’embarquement est facile dans presque toutes les conditions de marée et de météo.
Il est 10h, nous naviguons vers la pointe des Espagnols, c’est un petit coefficient et la marée est montante, nous continuons dans le goulet jusqu’à la pointe de Kerviniou.
Il y a de la houle et du vent de Nord Ouest, nous naviguons en bord de falaise.
Il est 11h, nous décidons de revenir au portant dans le Port de Brest. Nous traversons le goulet avec une houle de côté, cap Fort du Mengant, nous mettons ensuite cap vers Brest dès que le chenal est franchi afin profiter des surfs qui nous ramènent vers Brest. Nous ralentissons la vitesse pour admirer 3 des plus grand 3 mats du rassemblement, sortant pour un bord au large.
Nous entrons ensuite dans le port ou nous sommes gentiment refoulés vers la sortie. Il est midi passé, nous longeons par l’extérieur la jetée Est. Une échelle au dessus de quelques roches nous incite à débarquer pour le pique-nique. Le débarquement est rock and roll. Nous pique-niquons sur la jetée face à la manifestation, mais aussi face au vent. Le dos calé contre la digue, il ne fait pas chaud.
14h, la rade est couverte de vieux gréements, nous filons vers l’Ile ronde pour admirer le spectacle. Puis cap vers Roscanvel. Ce bord est très physique face au vent, mais le balai incessant des nombreux bateaux de tous ages nous distrayant, nous fait un peu oublier le côté difficile de cette navigation. Il est un peu plus de 16h quand nous débarquons.
Ce fut une belle journée couverte et ensoleillée, nous étions à l’abri dans la rade, mais nous avons bien senti le vent. Nous avons parcouru 17 nautiques.

Dimanche 15 juillet

Nous avons encore un peu hésité pour l’île de Sein, mais rapidement nous optons pour une traversée de la baie de Douarnenez.
Nous arrivons à Porz Lanvers, juste à Côté de Porz Péron, l’embarquement sur une cale est abrité et peut se faire marée haute comme marée basse. Il est facile d’y parquer la voiture et la remorque. C’est aussi la distance la plus courte pour atteindre le cap de la Chèvre.
Nous y croisons deux kayakistes randonneurs de Palavas les Flots en route de Roscoff à Concarneau. La discussion s’engage chaleureuse, tout en observant l’état de la mer. Nous partageons quelques expériences, et Hervé créé la surprise avec son cache hiloire maison.
Il est maintenant temps d’embarquer, Nous choisissons les vêtements bien étanches car nous allons sûrement prendre quelques paquets de mer, nous mettons aussi les casques, les casquettes ne feront pas la traversée : trop de vent.
Nous effectuons la traversée d’un peu plus de 5 nautiques en 2h avec vents d’au moins 5b de ¾ face et dans une houle d’un bon mètre voire parfois d’un mètre cinquante. Nous remontons ensuite le cap de la chèvre, nous sommes maintenant à l’abri du vent et de la houle. Nous stoppons dans l’anse de St-Norgard. Nous ne descendrons pas jusqu’à Morgat, nous devons garder de l’énergie pour le retour. Le pique-nique se fait au soleil, sur une plage de galets dans un environnement qui rappelle la Méditerranée.
Nous réembarquons en toboggan sur les galets ou plus calmement dans l’eau.
Nous remontons jusqu’à la pointe de St-Hermot ou l’Ile vierge. Il y a une petite grotte incontournable avec plusieurs entrées. Nous redescendons ensuite le cap en rase cailloux jusqu’à Men plat. C’est quasiment une mer plate, car nous sommes à l’abri du vent et de la houle, nous imaginons cependant les conditions de retour qui nous attendent.
Nous faisons le point pour le cap de retour, nous voyons nettement l’éolienne au dessus de Porz Péron, elle nous sert d’amer, nous pointons aussi le clocher de Cap Sizun, ce cap plus à l’ouest anticipe la dérive. Nous démarrons cap 180°.
Nous retrouvons rapidement la houle et le vent de ce matin, en un peu moins gros, et en latéral ou en ¾ arrière cette fois, C’est un peu plus portant, mais techniquement moins facile.
La houle grossit à mesure que nous quittons la presqu’ile de Crozon pour se rapprocher de Cap Sizun. Notre port d’arrivée ne se découvre qu’a l’arrivée, après avoir passé Karreg Toul gros roché blanchi par l’écume en avant du port. Il nous faudra 1h30 pour ce retour, une demie heure de moins qu’à l’aller.
Nous avons parcouru environ 15 nautiques
Christian



dimanche 8 juillet 2012

Villès Martin


Samedi 7 juillet 2012


Marie-Laure, Lise, Cathy, Mélanie, Françoise,
Thierry, Alain, Michel, Gérard, Yannick, Christian,
Claude, Jean-Pierre

Une petite pensée pour Hervé notre référent qui manque rarement une sortie.
C’est basse mer à 14h28, et un vent de 4b montant à 5b Sud Ouest.
Ce sont des conditions difficiles pour notre région, peux de côtes abritées, et peux d’endroits pour l’embarquement en basse mer. De plus, contrairement à ce que nous offre la météo, nous sommes en juillet, et les touristes arrivent sur la côte.
Nous choisissons donc d’embarquer à Villès-Martin.

Le Nuka a beaucoup de succès auprès des filles, et il n’y en a qu’un ! C’est une reprise pour Lise, qui souhaite naviguer en Nuka, Cathy venant tout droit d’un stage de fabrication de pagaie traditionnelle avec bien sûr le bel objet dont elle est fière, naviguera en ligue. Mélanie, quand à elle, embarque en K2 avec Christian.
C’est sous quelques goûtes de pluie que nous arrivons au parking de Villès.
Il y a de nombreux rochers à marée basse, et de belles vagues de bord dues aux conditions météo, l’embarquement n’est pas simple. Il faut s’aider les uns les autres pour embarquer le moins d’eau possible. L’exercice est un peu loupé pour le K2. Mélanie et Christian passent la barre sans avoir pu juper, le bateau sera vidé à la pompe au large.
Nous sommes pratiquement sur l’étale, mais la mer est bien formée, il y a des moutons blancs. Nous filons vers la pointe de l’Eve, en restant près de la côte pour se mettre un peu à l’abri du vent de face. Le groupe s’étire, Alain et Michel assurent l’arrière, et Marie-Laure guide l’avant tout en s’informant régulièrement à la VHF de l’état du groupe.
Tandis que Lise et Gérard entament le demi-tour, nous tentons le passage de la pointe de L’Eve. Mais le courant contre de la marée montante, et le vent 4 à 5 de face ralentissent très fortement notre progression. Au moment où nous sommes le plus regroupés, nous décidons le demi-tour vers Villès.
Nous restons au large, et les surfs et le vent nous ramènent très rapidement à notre lieu d’embarquement. Quelques uns passent le phare de Villès. Ceux-là seront bien secoués de l’autre côté, et le retour à contre est très physique.

Nous apprécions les installations et le robinet de la base de Villès pour rincer les bateaux.
Christian

Dimanche 1er juillet 2012 accompagnement du triathlon de St-Nazaire


dimanche 1 juillet 2012

Alain, Marie-Laure, Philippe, Philippe, Martine, Thierry, Christian, Hervé, Jean-Luc, Lise, sont venus passer la journée à Villès-Martin pour l'accompagnement  du Triathlon de St-Nazaire

Il s'agit d'accompagner les athlètes du triathlon pendant la partie natation en mer.
Un kayak ouvre la route aux nageurs, deux autres sont en stand by près des bouées de parcours, les autres kayakistes bordent les compétiteurs pour leur éviter de prendre une mauvaise direction et assurer une sécurité rapprochée pour les nageurs
nous pouvons effectuer un petit bord entre kayakistes entre deux courses.

Nous avons passé une excellente journée, très bien accueillis par l'organisation du triathlon.

Nous avons également reçu les remerciements des organisateurs.

mardi 3 juillet 2012

Bonne source les Evens


Sortie du 30 juin 2012.
Bonne source Les Evens
PM 14h51, Coef 61

Martine, Marie-Laure, Alain L, Philbi, Bruno,
Gérard, Yannick, Claude, Thierry, Marc, Hervé.

Après un petit briefing avec Christian à propos de sorties à venir alors que lui même ne peut nous accompagner cet après-midi, nous décidons d'embarquer depuis la plage de Bonne Source. La météo étant maussade quelques passages pluvieux et un vent à 3-4bf annoncé de OSO, le stationnement n'est donc pas trop difficile, sur la plage peu de monde le vent est là, les vagues aussi. Marie -Laure embarque rapidement afin d'éviter les mauvaises rencontres. Les VHF calées sur le 72 le reste du groupe se met à l'eau en bon ordre et se regroupe après les trains de vagues. Nous pagayons ensuite direction les Evens vent et vagues de face. Des régates se déroulent dans la baie et nous croisons la route de quelques embarcations mais nous voyons bien que la saison n'est pas encore lancée, ou que les vagues en dissuadent certains, rien à voir avec un beau jour de pétole où tout ce qui a un moteur se retrouve à tourner sur le plan d'eau. Nous rallions le côté NE de l'île et commençons à jouer dans la zone où les vagues se rejoignent : sensations garanties lorsque le tempo est parfait, une vague derrière une autre devant une bonne baffe à la rencontre des deux et c'est la dépose sur la plage pas toujours dans le sens voulu. Les effets diminuants, nous partons pour la pointe Ouest où les vagues semblent plus correctes et chacun peut alors s'essayer au surf . Tout le monde s'y met en faisant attention aux positions des partenaires afin d'éviter les collisions. Histoire de souffler un peu nous faisons le tour de l'île dans le sens horaire pendant que Claude préfère rentrer. Yannick et Alain, casqués comme il se doit passent au plus près de l'île dans la mousse des vagues qui s'écrasent sur les roches plus au large, le reste du groupe « arrondi » afin d'éviter les zones déferlantes mais trouve de jolis creux avant de se retrouver de nouveau pour une nouvelle séance de surf à la pointe Ouest.
Après un dernier regroupement du côté plage, l'heure est au retour. Ce bord va être plus propice au travail cardiaque(gourmand de piles diront certains) nous sommes vagues arrières tout du long jusqu'à la plage, un vrai moment de bonheur comme nous avons pu trouver sur le retour de Hoédic-Piriac et qui permet de casser le rythme d'une traversée. L'arrivée se fait en douceur la mer étant plus basse. Après avoir remonté les bateaux nous pouvons même nous dessaler grâce aux douches de plage installées pour la saison. Après les madeleines, le cake, les cookies il est temps de reprendre la route pour le club où après avoir rincé et rangé le matériel il nous faut recharger la remorque pour le lendemain afin d'assister les nageurs lors du triathlon de Saint-Nazaire.
Hervé