dimanche 28 avril 2013

Grêle au Croisic


Samedi 27 avril 2013
Le Croisic

PM 6h17 coeff 106 BM 12h52
Vents NNO 3b

Marie-Laure, Martine
Hervé, Yannick, Frantz, Jean-Claude, Marc,
Thierry, Alexandre, Alain, Franck, Bruno, Christian


Départ vers Le Croisic, c'est basse mer et un gros coefficient, nous décidons d'embarquer à partir de la Cale SNSM, Place du Trehic. Le stationnement y est facile, et pas de barre à 2m !
A l'arrivée par la côte sauvage, La visibilité est maximum, nous voyons nettement le phare du four et même la presqu'île de Rhuys.
Quand tous les bateaux sont à l'eau, le ciel se couvre, la pointe du Castelli a disparu dans le gris, nous entendons quelques coups de tonnerre. Nous nous mettons à L'abri sous l'estacade, paserelle que les promeneurs ont déserté. L'orage arrive accompagnée d'une forte grêle. Les casques sont les bien venus. La température a bien chutée. Pour ne pas prendre trop froid en restant inactifs, nous nous replions dans le port, en attendant que le grain s'éloigne.
Le ciel s'éclaircit enfin. Nous sommes venus pour faire un peu de technique, nous sortons du port et traversons en bac vers la pointe de Penbron. La plage est blanche, couverte de grélons.
Quelques bacs dans l'entrée du Traict puis nous nous dirigeons vers les plages de Pebron. Nous naviguons au plus près de la digue, en profitant du moindre surf pour compenser le courant de marée contraire à notre progression.
Puis, quand les plus lents ont rejoint les plus rapides, c'est un bord un peu plus long qui nous ramène à la basse Hergo qui marque l'entrée du port depuis le large.
C'est enfin sur un bord au portant que nous rentrons à nouveau dans le traict pour quelques jeux de bacs, reprises, et vagues statiques sur les roches bordant le chenal maintenant en partie recouvertes par la marée.
Nous admirons la luminosité du ciel et les contrastes de gris et de lumière avant le débarquement.
Un coup de tonnerre sur Guérande et c'est sous une petite averse bien froide que nous nous changeons.
Le soleil est revenu pour l'instant de convivialité autour des biscuits et gâteaux apportés par chacun.
Christian

dimanche 21 avril 2013

Dumet

Samedi 21 avril 2013
Piriac Dumet

PM 13h57 coeff 38 Vents NNE 3B

Marie-Laure, Martine, Françoise, Mélanie, Anny,
Hevré, Alain, Alain, Bruno, Thierry, Marc,
Yannick, Pierre-Dominique, Christian


C'est mon premier jour de vacances, mais je me lève tôt ! J'ai plein de bricoles à finir avant le déjeuner : cet après-midi, kayak ! Voilà un mois que je n'ai pas pu sortir en mer : j'ai hâte d'y retourner ! Et puis, le printemps est enfin arrivé : dans mon jardin, les cerisiers sont en fleurs, c'est magnifique ! Je suis super motivée. Avec un peu d'appréhension aussi : je manque d'entraînement, j'ai peur de ne plus tenir le rythme...
Quand j'arrive au club, Christian me propose de sortir en biplace avec lui (il devait y aller avec Cathy, mais elle a déclaré forfait). On va où ? A l'île Dumet. (Tiens, je croyais que c'était une sortie à la journée ! C'est loin, non ?) Alors va pour le K2 ! Je me sentirai plus en confiance, et puis je pourrai mieux profiter du paysage : jamais allée sur cette île, mais j'ai entendu beaucoup d'éloges à son sujet !
On attelle la remorque : pas beaucoup de bateaux dessus, pour une fois ! Pourtant, nous sommes quand même quatorze ! Michel, le quinzième, renonce finalement, par peur de rentrer trop tard pour prendre son train. Nous voilà partis, direction Piriac.
D'habitude, je viens ici avec mes proches de passage dans la région, pour visiter le vieux village, avec ses maisons en pierres, ses volets colorés et ses roses trémières... Aujourd'hui, je ne viens pas en touriste ! (Absurde petit moment de fierté, revanche du sportif qui est parti pour en baver, sur le vulgum pecus qui va se contenter de lézarder au soleil...)

Il fait un temps splendide, j'ai peur d'avoir trop chaud avec ma tenue d'hiver : comment s'habiller ? Marie-Laure et Martine se posent la même question. Elles me rappellent qu'il fait toujours plus froid en mer, et remarquent la petite brise encore bien fraîche : ce n'est pas le moment de sortir les manches courtes !
Effectivement, à peine embarquée, je me prends une vague en pleine figure : ouh ! là ! c'est saisissant ! Salé aussi...
Ce premier contact avec l'eau me donne du tonus pour pagayer, et nous mettons un petit moment à trouver notre rythme, avec Christian (qui est resté sec, bien planqué derrière mon dos !). Il me fait rire avec une blague de dentiste, et enchaîne avec des histoires de médecins, plus sérieuses. Pour renouveler sa licence, il a dû passer un test à l'effort... à cause de son grand âge ! (Il le dit en rigolant, mais comme c'est la troisième fois qu'il m'en parle, je commence à me demander s'il ne ferait pas un début d'Alzheimer... Mais motus ! Faites comme si de rien n'était !) Je me garde bien de lui faire remarquer que j'aimerais avoir autant d'endurance que lui, il rougirait ! (Vous avez remarqué combien les costauds sont pudiques ?)
La mer est belle, sans houle, avec un petit vent de face. Nous avançons à un bon rythme (Adonf porte bien son nom !), pour une fois je ne suis pas à la traîne ! Nous avons même fait la course avec Hervé, mais nous l'avons laissé passer devant, pour ne pas le vexer ! (C'est sympa d'écrire le compte-rendu, on peut garder la version qu'on préfère !!!)
A force de discuter, je ne vois pas le temps passer, mais mes muscles finissent par me rappeler à l'ordre : quand est-ce qu'on fait une pause ? On attend que le groupe se resserre, et on repart déjà !
Si j'étais dans un monoplace, je pesterais ! Mais là, je m'en fiche un peu : je vais à mon rythme, et mon coéquipier s'adapte ! C'est une des raisons pour lesquelles j'apprécie le K2 : je n'ai pas à m'occuper du gouvernail, pas à réfléchir, je dois juste éviter de déséquilibrer le bateau, et pagayer (à la vitesse que je veux, sauf passage délicat !). Autre avantage non négligeable : j'économise de l'énergie ! Nous accostons donc sur l'île Dumet sans que je ne sois complètement vidée par cette longue traversée.
Alain nous aide à débarquer, et porte même galamment le kayak à ma place (ce qui me réjouit, et mes bras encore plus ! Tiens ! Je les avais presque oubliés, ceux-là... Ouille !). Sur la plage, un ancien du club, avec un joli accent du Midi, vient nous saluer : le monde est petit, décidément ! Pendant qu'il discute avec Christian, je me rends compte que j'ai froid subitement : je me précipite sur mes provisions... Scrounch !
Dix abricots secs et un Snickers plus tard, je retrouve un semblant de sociabilité : je vais voir Martine, qui me propose une rapide visite guidée de l'île.
Comme c'est beau ici ! J'admire la visibilité exceptionnelle, le contour déchiqueté, les galets multicolores, les ruines chargées d'histoire, la clarté de l'eau, la beauté sauvage de l'ensemble...
Pierre-Dominique prépare son aile, qui ressemble plus à un cerf-volant qu'à un kite-surf : je me demande comment une toile aussi légère va pouvoir le tracter. Il attache tout ce qui est susceptible de s'envoler (une fois parti, pas question de faire demi-tour !), recommande aux costauds de veiller sur Anny (quel papa poule !), et nous voilà tous repartis !
Un petit tour de l'île, histoire de profiter du paysage et de jouer un peu à rase-cailloux (Eh ! Pas trop quand même ! On a failli heurter un rocher, à peine affleurant !). Nous rigolons avec Bruno, qui trouve le Nuka un peu court. ("Encore un qui mesure la puissance à la longueur !" commente mon voisin dont je préserverai l'anonymat.)

Le traversée retour s'annonce plus rapide : nous sommes poussés par le vent, et nous pouvons surfer sur les vagues. C'est là que je savoure le choix du K2 : plus long et effilé, il est un peu moins stable, mais il fonce ! Quand je sens que nous sommes soulevés par l'arrière, je mouline à toute berzingue... et j'entends Christian ahaner derrière ! (Pour le test à l'effort, ils n'ont pas prévu de suivre le rythme d'une petite jeunette avec un coton tige !) On rigole !
Nous peaufinons la technique, déjà expérimentée dans le Golfe, du surf en duo : l'avant propulse tandis que l'arrière dirige et marque un appui. Ou alors, avec les pagaies synchrones, nous affinons la cadence en tâchant de sentir la vague et d'aller à peine plus vite qu'elle : tout au feeling... Quand la lame nous emporte, c'est du pur bonheur ! Whaou !
Nous réussissons quelques beaux surfs, dont un très long, sans effort, un vrai morceau d'anthologie !
Pierre-Dominique est loin devant : sa voile aérienne semble efficace finalement ! Thierry veille sur nous, souriant ange gardien, tandis que les autres sont dispersés un peu partout. Nous faisons demi-tour pour attendre Yannick et Anny, en queue de peloton. Tout le monde a l'air d'apprécier la traversée : quelle sortie magnifique !
Nous apercevons un voilier sur la gauche, qui va couper notre route, et le surveillons jusqu'à être certains qu'il nous a vus. Le retour s'achève sans encombre.
Devant la plage de Piriac, Françoise et Marie-Laure enchaînent quelques esquimautages, et Christian me propose d'en faire autant, en duo : chiche ! Mais quand je saurai déjà faire en solo ! Alain nous aide encore à débarquer, tout sourire : Christian trouve ça louche, il attend la blague... Mais non, pas de renversement traître ! Je me relève, confiante, et tout à coup, Alain me fait une prise pour me déséquilibrer en arrière. Juste le temps de répliquer : "Si je vais à l'eau, tu vas y passer aussi !" (T'es pas folle ? Il est plus grand et plus fort que toi !) et il me rétablit en position verticale. (Ouf ! L'eau est trop froide, vraiment !) Je remonte le K2 en grelottant, à moitié euphorique après cet après-midi idyllique, et un peu triste qu'il se termine déjà...

Mélanie



lundi 15 avril 2013

Le Croisic St-Nazaire


Dimanche 14 avril 2013

Le Croisic St-Nazaire
Vents SSE 4b mollissant 3b en passant SSE
PM 6h52 coeff 86 BM 13h43 PM 19h01 coeff 82


 Martine,
Philippe, Hervé, Pierre-Dominique, Roger, Sylvain, Christian

Le matin 4h30
L'après midi 2h

Nous embarquons à St-Goustan, L'endroit est abrité, l'embarquement est facile.
10h, nous sommes sur l'eau. Nous nous dirigeons vers la pointe du Croisic. Nous constatons les premiers effets de houle, et nous évitons de naviguer en rase-cailloux. Les trains de houle lèvent parfois de belles vagues sur les hauts fonds, nous restons vigilants et observons ces formations.
A la pointe du Croisic, Christian et Philippe se feront surprendre, Philippe réussit un appui extrême, le bateau sur la tranche, Christian se retrouve rapidement à l'envers, un esquimautage le remet à l'endroit. Nous sommes très heureux de ne pas avoir à faire de récupération à cet endroit. Le travail de la technique porte ses fruits !
Le bord se poursuit le long de la côte sauvage dans une mer hachée par les trains de houle venant de tribord et le ressac qui remonte loin en mer. Nous naviguons au large de la côte.
Ce bord est interminable, le clocher de Batz semble impossible à doubler. C'est un bord engagé, sur ces conditions de mer nous avons peu de replis, il faut continuer.
Les conditions s'améliorent quand noud atteignons la pointe de Penchateau, et nous apercevons depuis peu les Evens. La côte crée moins de ressac et les vents mollissent. Nous devons encore être vigilant jusqu'aux Guérandaises que nous laissons à bâbord. Puis c'est sur une mer plus calme que nous atteignons notre objectif. C'est basse mer et la houle lève de grosses vagues sur les rochers à fleur d'eau. Soit on contourne pour assurer, soit on espère un passage sans se faire surprendre par une déferlante.
14h30, nous débarquons enfin sur la plage au nord des Evens. Nous avons navigué pendant 4h30.
C'est avec beaucoup d'appétit que nous dégustons nos pique-niques. Puis nous apprécions une petite pause récupératrice.
16h, il est temps de repartir.
Le soleil est là, le vent est tombé, mais la houle crée une mer bien blanche au Sud de Baguenaud.
Nous décidons de passer au Nord puis de continuer jusqu'à la vieille pour naviguer au bord du chenal pour profiter du courant de marée. L'embarquement est délicat sur les vagues de plage qui se croisent à la pointe de l'île.
Nous sommes au portant sur une houle très longue et lisse jusqu'à la pointe de Chémoulin, Puis la mer est de plus en plus plate quand nous atteignons enfin la plage de Villès-Martin.
Il est 18h, ce bord n'aura duré que 2h !
Nous prenons le temps de déguster le far aux pruneaux d'Anny avant de plier tout le matériel.

Merci à Michel et Anny qui nous ont accompagné pour ramener le minibus et la Remorque à villès.
Christian



Villès


Samedi 13 avril 2013

BM 13h43, PM 19h01 Coeff 82
Sud Sud Ouest 5 beaufort

Françoise, Hervé, Franck, Yannick
Roger, Eric, Michel, Alain, Christian

De la pluie, et du vent, et de la pluie, et du vent et de la pluie …
Nous embarquons à Villès sous la pluie. Nous mettons cap vers le large mais nous n'avons pas l'intention de traverser l'estuaire, la visibilité est courte et nous sommes face un vent force 4 bien établi, et dans des creux d'un mètre, la progression est très lente.
Nous voulons viser une bouée de chenal pour revenir ensuite au portant, après analyse de la situation,  nous choisissons de progresse encore vers la pointe de Chémoulin pour contourner l'objectif.
En passant St-Marc, il y aura un premier bain d'Eric , moins à l'aise dans l'éliza que dans un Aquanaute. Un appel à la VHF permet au groupe de se rassembler. Bien que dans ces conditions, c'est difficile de lâcher le manche de la pagaie pour attraper la VHF.
Yannick nous dira que dans un moment d'inattention il s'est aussi retourné, et a esquimauté.
Nous mettons maintenant cap sur la bouée N°10 en luttant contre le vent et la mer et les vagues par tribord.
Pour le dernier bord, nous espérons un retour au surf, nous sommes bien au portant, mais il est difficile d'effectuer de beaux surfs. Eric prendra son deuxième bain. Puis un troisième et la fatigue aidant, un quatrième juste avant le débarquement. Nous devons toutefois admirer la maîtrise du réembarquement.
La pluie ne nous aura pas quittés, et c'est encore sous la pluie que nous chargeons les bateaux sur la remorque avant de retrouver nos vêtements de ville.
Christian

lundi 8 avril 2013

Océan Racing

Samedi 6 et dimanche 7 avril 2010
Ce week-end organisation par le club d'une sélective Nationale Océan Racing 

merci à toutes et à tous pour avoir participé à l'organisation de cette manifestation


à samedi prochain pour de nouvelles aventures marines en kayak



mardi 2 avril 2013

on est allé ou ?


Françoise, Marie-Laure, Geneviève,
Alain, Philippe, Philippe, Hervé, Franck,
Marc, Roger, Benoit-Xavier, Christian

Samedi 30 mars 2013

Il était prévu un Week-End de 3 jours au Glénan, mais la météo en a décidé autrement,
Vents, Pluie, Houle …
Et ça pour toute la côte atlantique !!!
Nous nous replions sur une sortie dans le Golfe du Morbihan.
C'est pleine mer à 6h42 et basse mer à 12h58 avec un coeficient de 100.

Nous quittons le club à 8h et nous sommes sur l'eau vers 10h à la cale du Bilouris à Kerners.
Roger à un petit problème d'intendance, quelques vêtements de navigation oubliés. Ce problème est réglé par les membres de la collectivité car il n'est pas question de ne pas bien se couvrir. Les vents placés à l'est sont très froids.
Ce sera un parcours devenu classique pour les nazairiens habitués au Golfe du Morbihan.
Nous entamons les deux premiers bacs pour passer Hent Tenn et ensuite atteindre le Nord de La Jument, pour un bac un peu plus technique.
Nous longeons Berder par l'ouest jusqu'au Gué. Comme imaginé, nous sommes un peu tard sur la marée, la vague statique est moins attrayante et les rochers commencent a émerger sur toute la Zone.
Nous retournons dans le courant de la Jument pour descendre le Golfe de bacs en bacs jusqu'à Port-Navalo. Nous devons noter un dessalage de Roger entre Gravinis et Erlanig. Il est vite récupéré par Marc, et les appels VHF ressoudent le groupe.
Le pique-nique se fait sur la plage de Port Blanc ou nous trouvons de l'abri.
Le pique-nique se prolonge par un bon café pris au bar de la plage. Ce moment de détente nous permet de retrouver de la chaleur avant de repartir.
Le retour sera aussi classique qu'à l'aller
Une première traversée de l'entrée du golfe pour trouver la statique de kerpenhir, puis retour au Faucheur. Ensuite direction sud de l'Ile longue. Ce bord sera un peu physique pour ceux qui n'ont pas assez anticipé la dérive.
Nous restons un petit moment à faire quelques reprises sur cette veine d'eau, puis route vers Berder.
Comme nous nous en doutions, nous sommes encore trop tôt par rapport aux horaires de marée, mais la journée avance et il est temps de rentrer.
Il y a encore 3 passages techniques pour rentrer à Kerners.

La température nous incite à remettre les vêtements secs et chauds dès notre arrivée.
Nous chargeons ensuite les bateaux sur la remorque et les toits des voitures, puis vient le moment de convivialité avec gâteaux flans et différentes recettes de thé chaud dégustés avant de reprendre la route.







Dimanche 31 mars 2013,

La météo est plus clémente que prévue,
Philippe, Roger, Françoise, Geneviève, Benoit-Xavier, Christian,
Se retouvent au club pour une sortie à Villès-Martin.
Nous sommes pratiquement à l'étale de marée basse, Premier bord vers la baie de Sautron, le temps de passage d'un cargo dans le chenal, puis nous traversons un peu en amont des Morées pour arrivée sur l'épave signalée par une balise de danger isolé.
Nous suivons ensuite la côte de St-Brevin, mais très au large car c'est marée basse et gros coefficient.
Comme à l'accoutumé, des vagues lèvent sur les bancs de sable du banc du Pointeau, nous ne pouvons pas ne pas tenter quelques surfs sur des vagues croisées qui parfois se percutent.
Nous passons ensuite au nord des Bouchots, les pieux sont à fleur d'eau, nous restons à la limite de la zone. Nous rencontrons quelques déferlantes, La mer est ensuite plus grosse quand nous passons sur le bans de Morées. Une traversée du chenal en observant le trafic maritime et nous sommes face à L'aiguillon, puis le courant de la montante nous ramène à Villès.
Marie-Laure nous y attend avec une collation dont elle a le secret.

Christian