mercredi 30 mai 2012

Villès 26 mai 2012


Martine, Cathy, Mélanie, Viviane, Annie, Pierre-Dominique, Thierry (pilote de remorque), Yannick, Gérard, Benoit-Xavier (nouvelle recrue angevine), Sylvain (référent désigné d’office).

Après l’accueil d’une nouvelle recrue, Benoit-Xavier, ayant déjà pratiqué, nous vérifions le matériel et direction Villes pour la ballade que l’on pourrait appeler “La Classique”.
La marrée descend encore un peu (BM 15h11 Marée de 64) et nous partons pour la Pointe de l’Eve. Le vent d’ouest assez fort (30 km/h annoncé et présent) impose un premier bord vent de face pour se chauffer avant de naviguer plus à l’abri, en bord de côte après le Rocher du Lion. Nous rebroussons chemin, arrivés à proximité de la pointe pour un retour vent dans le dos et le courant dans le bon sens. Le retour trop rapide nous incite à ne pas stopper mais à continuer en direction de la jetée Ouest pour un bord dans la baie de St Nazaire.
Au retour, pour le passage du Phare de Villes, le vent est toujours là et le courant bien installé, mais dans le mauvais sens. Mélanie est prise en remorque pour ce passage physique par Pierre Dominique alors que Cathy continue à pagayer ne voulant pas s’avouer vaincue. Mais il faut se rendre à l’évidence, si le paysage ne change pas, c’est qu’on n’avance pas ! Nous réalisons une double remorque Sylvain et Pierre Dominique en ligne. Débarquement sans encombre après cet excellent exercice technique, et pour les bras. La prochaine fois, le remorquage sera à envisager avec les deux “tracteurs” cote à cote, ce qui devrait être plus efficace et permettra de communiquer plus facilement.
La suite est aussi classique, le confort de Villes qui nous permet de rincer sur place, discussion et petit gâteaux.
Autre point positif, malgré les prévisions pas la moindre goutte de pluie.
Donc, à samedi prochain....
Sylvain



2 commentaires:

  1. Je suis d'accord avec toi sur la meilleure efficacité du remorquage côte à côte dit en "boeufs" (peut-être mon côté sport de boeuf d'après ma femme), mon avis n'étant pas partagé par l'ensemble des "remorqueurs" du club.
    Joël

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  2. je suis de ceux qui préfèrent un remorquage en ligne. Les forces s'additionnent naturellement, on peut être plus de 2, et on n’a pas à se surveiller.
    Christian

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