Un tour dans l’Estuaire

Mercredi 16 juillet 2025
BM à 15h41 vent O 4 rafales à 5
Cathy, Claude, Hervé, Frank, Alain, Patrice et Franck.

L’idée d’une balade le long de la Côte Sauvage fut vite balayée avec une basse mer en plein milieu de l’après-midi.
Ce sera fibre et départ depuis Villes.
Une attention est requise au départ avec ces rochers hyper coupants non visibles, avec cette eau très chargée.
Hervé se serait bien engagé pour se rapprocher du chenal, afin d’avoir une partie du parcours plus musclée avec ce vent soutenu et une marée contre. Il se ravise et non partons pour un bord plus près de la côte mais qui ne nous empêche pas d’avoir à lutter contre Eole.
Premier regroupement au niveau de la plage de Port Charlotte avant d’affronter encore plus de fureur.
Le passage de la Pointe de l’Eve se fait sans encombre, et le deuxième ralliement se fera côté Ouest de la plage de la Courance.
Nous poursuivons en constatant que la jetée de St Marc est achevée et pourvue de garde-corps des 2 côtés.
Nous atteignons la Pointe de Chemoulin, et chose assez rare, plusieurs pêcheurs à la ligne s’y essayent côté St Nazaire, l’autre coté à marée basse laissant apparaitre de trop nombreuses roches, au risque d’y laisser plus facilement des leurres de pêche.
Nous faisons donc le tour de la pointe en direction de la Pointe de la Lande qui sera notre 4ème regroupement. Souhaitant profiter du courant de la montante, cap au 223° pour aller tourner au niveau de la cardinale Nord « le Caillou » située à 1.4 km de la Pointe de la Lande.
Une fois atteinte pour tout le monde, on prend « l’autoroute des vacances » direction St Nazaire sur Mer. Le retour se fera donc au portant même si nous constatons au fil du temps une baisse d’intensité du vent. La navigation se fera tranquillou et le débarquement moins « saignant » avec un niveau d’eau supérieur à celui du départ.
Sommes bien contents de cet après-midi et avons parcouru autour de 16kmg. Petite collation toujours bien appréciée, sur un banc SVP, avec vue panoramique sur l’estuaire. Vivement la prochaine.

Franck TABART