Port-Lin

 

Mercredi 22 septembre 2021.

 

 BM 12h50, PM 18h15, coeff 94

Vents ENE 3B, pas de houle, Soleil.

 

Cathy, Christian, Alain, Alain, Stéphane, Claude, Jean-Luc,

Olivier, Thierry, Philippe, Hervé, Patrice, Yannick, Roger.

Vents placés au Nord Est, avec peu de houle, de bonnes conditions pour du rase cailloux sur la côte sauvage. La pleine mer est un peu tard dans l’après-midi, ce qui nous oriente vers le Croisic plutôt que le Pouliguen.

Nous sommes 14 au départ, c’est inhabituel pour un mercredi. En Plus de quelques bateaux personnels, nous sortons tous les bateaux Polyeths du club, plus un bateau RTM d’initiation.

Nous faisons route verts Port-Lin au Croisic. Grace à l’utilisation de quelques galeries sur les toits des voitures, une remorque, mais bien chargée, suffit.

Bien que la saison estivale semble derrière nous, le parking est bien rempli, nous pouvons cependant stationner les voitures et la remorque.

C’est encore marée basse, sur cette plage mais le portage est relativement court. Une fois tout le monde sur l’eau, au regard du nombre de kayakistes, nous créons des binômes afin de rendre plus efficace la surveillance réciproque des uns et des autres.

Nous naviguons vers la pointe du Croisic en contournant tant que possible les roches émergeantes. Nous cherchons quelques passages plus sportifs et plus techniques ou il faut se mettre en synchronisation avec la vague pour ne pas se retrouver échoués sur les roches. Nous surfons les plus belles, chacun notre tour avec en spectateurs ceux qui attend leur tour et il y a les applaudissements pour les plus réussis voire les plus surprenants.

A ce petit jeu, il y a un premier « coinçage » de Jean-Luc avec les deux pointes du kayak échouées et sans eau sous le bateau, Cathy l’aidera à se décoincer ! Le premier bain sera fait par Thierry à la sortie d’une passe. Ce sera un remorquage rapide pour sortir de la zone avant le réembarquement en pleine eau. Stéphane, peu habitué à ces jeux, y prend goût. Il dessale alors qu’il est pratiquement sorti d’une passe. Même méthode que pour Thierry : remorquage et réembarquement.

Alain se retrouve échoué très haut suite à un rock-hopping, il lui faudra plusieurs tentatives d’esquimautages, mais jamais une vague assez haute pour le sortir de cette situation, il finit par déjuper pour se dégager. Et bien sûr toujours les esquimautages avant le débarquement avec de plus en plus d’adeptes.

Christian.