Samedi 30 mai 2015
Le four
PM 15h33, coeff 62
OSO 2B
Jean-Luc, Alain, Sylvain, Franck, Michel, Christian
Nous sommes huit au départ du club pour une destination déjà
arrêtée, ce sera le Four.
Ce phare est distant de la passe de Port aux Rocs
(pointe du Croisic) de 3.6Mn avec comme cap du presque plein Ouest
(274°).
Nous accueillons pour la première fois, Jean-Luc du club du
NACK qui veut voir ce que nous faisons comme type de sorties. A noter, le
retour de Clothilde suite à la réussite de ses partiels pour sa licence
et celui de Michel après une blessure à la main qui avait suivi la
sortie assez éprouvante du Croisic du 18
avril dernier.
Tout le monde s’élance sur une mer calme avec très peu de
vent, Cathy avec l’Xcape et Clothilde en Nuka. Durant la première partie du
trajet,nous ferons 2 petites haltes, afin de provoquer un rassemblement des
troupes.
Le dernier bord sera plus rapide…et surprise de tout le
monde de trouver Cathy dans ce dernier rush. La pagaie et les conseils
d’Ewenn font des merveilles, on en
serait presque à croire au miracle.
Il y a quelques pêcheurs autour du phare, Alain va prendre
les renseignements…les araignées sont arrivées.
C’est bien dommage que nous n’ayons pas la clef de la porte d’entrée du
phare (si quelqu’un connaît du personnel des Phares et Balises en mesure de
nous procurer un sésame, nous sommes preneurs). La montée à l’échelle d’accès à
la porte n’est pas très difficile avec cet état de la mer, et le palier devant
la porte pourrait s’avérer quoique spartiate, assez protecteur des fois que
l’on serait soumis à des éléments
naturels déchaînés.
Avant de repartir de « notre petit Kéréon » local,
nous souhaitons passer au –dessus de la « calebasse », qui avec ce
coefficient et à pleine mer est recouverte au minimum 1m20 à 1m30 d’eau.
Le retour se fera sur un rythme plus tranquille, sachant que
nous souhaitons passer à la pointe du
Croisic, avant de revenir à notre point de départ. L’endroit grouille de
pêcheurs à la ligne. D’ailleurs nous retrouvons facilement le rocher émergé sur
lequel étaient réfugiés nos pêcheurs qui n’avaient pas fait
attention à l’heure de marée et qu’il avait fallu ramener à terre (cf. compte rendu du
18/04/2015).
Nous sommes à quelques encablures de notre
lieu de débarquement, précédé , pour plusieurs
d’entre nous, de séries d’esquimautage. Jean-Luc n’est pas en reste, et
nous vante, les qualités de la pagaie traditionnelle pour cet exercice.
Nous nous changeons au soleil (qui se voilera assez rapidement
derrière), puis apprécions tous le grignotage qui s’ensuit. Clotilde nous amené
boissons et biscuits pour fêter sa licence.
Encore une fois, on est content !
Franck
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