Aide au BEST pour le triathlon de St-Nazaire
Dimanche 3 juillet 2011
Viviane, Sam, Roger , Gérard, Yannick, Jean-Luc , Hervé , Christian
Comme par le passé, nous avons été sollicités pour la sécurité raprochée pendant l’épreuve de natation pour le Triathlon de St-Nazaire. La saison des vacances est commencée, d’autres sont partis en compétitions, ce n’est pas facile de trouver des personnes disponibles. Nous sommes cependant 8 kayakistes présents.
Nous prenons tous les Aquanautes, bateaux marins en polyéthylène très bien adaptés à ce genge de sorties.
Nous embarquons à Gavy un peu avant 10h pour ne pas avoir de problèmes de circulation, les routes qui seront empruntées pour les courses à pied ou à vélo étants interdites à la circulation.
Un premier petit bord nous amène à La plage de Villès. Nous prenons contact avec l’organisation. Comme à Chaque fois nous sommes très bien acceuillis. Nous prenons conaissance des parcours de natation et des consignes particulières, puis nous nous préparons pour la première course qui part à 12h.
Un kayak fait l’ouverture, deux autres restent en position pour bien marquer les bouées à contourner, place délicate, car les courants nous font sérieusement dériver, et il reste très peu de place pour planter la pagaie dans l’eau sans heurter les nageurs. Les autres kayakistes encadrent la course en tentant de repérer les sportifs en difficulté et en les guidant, tant que faire se peut, sur les bons caps.
La première course terminée, nous prenons les repas offerts par l’organisation, puis, ayant un peu de temps devant nous, nous décidons de faire un bord jusqu’à St-Marc .
Nous sommes de retour une demie heure avant le départ de la deuxième course.
Cet accompagnement a été plus difficile que pour celle de fin de matinée, le coefficient de marée est de 88, et le courant est plus important que ce matin. Le premier départ est donné pour la catégorie Handi-Sport, puis 10 mn après, c’est le départ, sur le même circuit, de la course sprint. La dérive des nageurs est très importante, certains arrivent à peine à compenser cette dérive. Il faut dire que moins la vitesse est rapide, plus la dérive est importante. Nous tentons de canaliser au mieux la course en surveillant le plan d’eau pour tenter de repérer les nageurs à bout de souffle. Nous sommes là pour leur sécurité, mais la décision d'abandon leur appartient. Quand les premiers entament le deuxième tour, le plan d’eau est totalement occupé.
La mission a été un peu difficile, mais tout c’est bien passé. Bravo et admiration aux nageurs, qui évoluent sur un bassin rendu très difficile par les courants.
Nous débarquons pour un passage très convivial au bar, puis nous regagnons, Gavy, notre point de départ, par la mer. Nous pouvons rejoindre ensuite le club sans encombres.
Christian
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