Samedi 10 février
PM à 17h04 coef 103, vent WSW force 6, mer agitée
PM à 17h04 coef 103, vent WSW force 6, mer agitée
Hervé, Claude, Patrice, Philbi, Yannick, Philippe, Kevin, Hubert, Fred et Franck
RDV au club comme d’hab pour 13h.
Nous avions déjà décidé via le fil que ce serait l’anse de Toulin comme terrain de jeux aujourd’hui.
Ce qui permit à Hervé de se rendre en direct sur les lieux avec son beau Delphin.
Le remorque fut vite chargée en polyets, Philbi prenant son Virgo sur son toit et son tractage assuré par Kevin avec son camion.
Au moment de se garer, nous apercevons la voiture de Françoise qui est supposée être déjà sur l’eau mais nous n’aurons pas l’occasion de la saluer durant cet après-midi.
Nous filons en ordre dispersé vers la Pointe de Penchâteau. De gros trains de déferlantes nous y attendent, Hervé étant le premier à y gouter. Il n’est pas toujours aisé si on n’est pas bien placé ou frileux pour s’y engager surtout avec certaines dont la taille force au respect.
Le vent, qui est aussi de la partie, n’arrange rien à l’affaire. Au bout d’un moment nous décidons de nous rendre à la plage en passant à la base des Impairs. Avec la houle annoncée, et à mi-marée, nous pensions que l’on aurait droit à des trains de déferlantes bien formées au droit de la plage de Renadin. Ça fait un moment que nous n’avons pas pu profiter de longs moments de surf comparé à l’année dernière. La hauteur d’eau étant trop importante, il faut nous faire une raison. Je pense qu’idéalement, si une belle houle est annoncée, il nous faut être sur l’eau dès 1h après BM (à ajuster fonction du coefficient de marée). Pour être encore plus précis, c’est la hauteur d’eau adéquate qu’il convient de connaître à partir de laquelle les surfs peuvent s’engager. Hervé détient cette information de Françoise, aussi s’il peut mettre un commentaire pour nous les rappeler ce serait super.
Nous constatons du mieux en passant aux Impairs et la perche blanche à Yannick avec leurs hauts -fonds.
Une fois au bord, le spectacle peut commencer. C’est un ballet de figures, parfois insolites, amenant de temps en temps à des bains, qui, c’est l’avantage de la plage, permet d’éviter un trempage trop long dans cette eau à 10°. Certaines vagues bien pentues nous aident bien pour des chandelles qui malgré tout ne sont pas désirées.
Après avoir joué entre la sortie du port du Pouliguen et l’Hermitage une bonne partie de l’après-midi, nous rentrons contre le vent, au moins jusqu’en approche de la ligne des belles villas pouliguennaises. Nous longeons ce chapelet de maisons en nous amusant avec le ressac de la houle qui vient s’écraser au pied des murs d’enceinte des propriétés.
A notre point de débarquement la mer est si haute qu’il n’y a quasiment plus de plage et de surcroît des effets de vagues croisées rendent plus compliqué l’atterrissage, heureusement que les copains sont là.
Petit gouter sympa et merci à Claude pour le café. Sans vouloir m’avancer je pense que tout le monde est content et vivement la prochaine session.
Nous avions déjà décidé via le fil que ce serait l’anse de Toulin comme terrain de jeux aujourd’hui.
Ce qui permit à Hervé de se rendre en direct sur les lieux avec son beau Delphin.
Le remorque fut vite chargée en polyets, Philbi prenant son Virgo sur son toit et son tractage assuré par Kevin avec son camion.
Au moment de se garer, nous apercevons la voiture de Françoise qui est supposée être déjà sur l’eau mais nous n’aurons pas l’occasion de la saluer durant cet après-midi.
Nous filons en ordre dispersé vers la Pointe de Penchâteau. De gros trains de déferlantes nous y attendent, Hervé étant le premier à y gouter. Il n’est pas toujours aisé si on n’est pas bien placé ou frileux pour s’y engager surtout avec certaines dont la taille force au respect.
Le vent, qui est aussi de la partie, n’arrange rien à l’affaire. Au bout d’un moment nous décidons de nous rendre à la plage en passant à la base des Impairs. Avec la houle annoncée, et à mi-marée, nous pensions que l’on aurait droit à des trains de déferlantes bien formées au droit de la plage de Renadin. Ça fait un moment que nous n’avons pas pu profiter de longs moments de surf comparé à l’année dernière. La hauteur d’eau étant trop importante, il faut nous faire une raison. Je pense qu’idéalement, si une belle houle est annoncée, il nous faut être sur l’eau dès 1h après BM (à ajuster fonction du coefficient de marée). Pour être encore plus précis, c’est la hauteur d’eau adéquate qu’il convient de connaître à partir de laquelle les surfs peuvent s’engager. Hervé détient cette information de Françoise, aussi s’il peut mettre un commentaire pour nous les rappeler ce serait super.
Nous constatons du mieux en passant aux Impairs et la perche blanche à Yannick avec leurs hauts -fonds.
Une fois au bord, le spectacle peut commencer. C’est un ballet de figures, parfois insolites, amenant de temps en temps à des bains, qui, c’est l’avantage de la plage, permet d’éviter un trempage trop long dans cette eau à 10°. Certaines vagues bien pentues nous aident bien pour des chandelles qui malgré tout ne sont pas désirées.
Après avoir joué entre la sortie du port du Pouliguen et l’Hermitage une bonne partie de l’après-midi, nous rentrons contre le vent, au moins jusqu’en approche de la ligne des belles villas pouliguennaises. Nous longeons ce chapelet de maisons en nous amusant avec le ressac de la houle qui vient s’écraser au pied des murs d’enceinte des propriétés.
A notre point de débarquement la mer est si haute qu’il n’y a quasiment plus de plage et de surcroît des effets de vagues croisées rendent plus compliqué l’atterrissage, heureusement que les copains sont là.
Petit gouter sympa et merci à Claude pour le café. Sans vouloir m’avancer je pense que tout le monde est content et vivement la prochaine session.
Franck
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